11-14-2017, 12:12 PM
Bonjour Roland,
Merci pour tes bons mots, cela fait plaisir de se dire que le travail effectué ces derniers mois n’a pas été vain. Que la direction prise était la bonne. Il a encore des axes d'améliorations. J’y travaillerais ultérieurement. Pour le moment, une pause musicale, de quelques mois, s’impose.
En attendant, il me reste à faire aboutir le projet I2S, et régler ce petit souci de 50hz qui se promène dans les HP. Et, ranger tout ce fatras de câbles divers et variés (le perforateur, les trépans et les prises vont s’installer au mur prochainement). En se moment, on est plus sur une mise en œuvre « en l’air » comme sur certaines électroniques de qualité.
Après une fin de semaine que nous pourrions qualifier de Bretonne, le ciel s’est magistralement dévoilé pour accueillir nos amis Roland et Pierre.
Cela s’annonçait être une très belle journée, d’autant plus que nos compères, comme l’a indiqué Pascal, ne sont pas venus les mains vides.
Après un café en terrasse, nous nous sommes installés au salon.
Première écoutes avec le système dans sa configuration quotidienne.
Prise et reprises de nos morceaux communs. Rien à dire de mon côté. Forcément, nous sommes dans une version quasi aboutie. Même si le DAC devient le maillon faible de la chaîne, il s’en sort très bien le bougre.
Pour rappel, les morceaux de référence écoutés sur des plages courtes sont les suivants :
- The Oscar Peterson Trio « You look gord to me » en WAV 16b/44kHz. DR 12.
- Dire Straits « Private investigation » même format. DR 16.
- Youn Sun Nah « Lento », cettte fois-çi en FLAC 16/44. DR 8.
- Hadouk Trio « Intro » et « Baldamore », toujours en FLAC 16/44. DR 6.
Roland propose l’essai du Van Den Hul The Second en version XRL entre le DAC et le Pré. Effectivement, le ressenti est différent. Ce câble est plus doux partout. La musique s’en est retrouvé apaisée. Nous validons et gardons ce câble pour le reste de la journée.
Puis, vient s’immiscer la carte superclock SOTM entre le player et le DAC. Là aussi, le ressenti est supérieur, l’on gagne en naturel, en espace, en capacité à faire des graves propres. Carte validée à l’unanimité. Elle restera en place jusqu’à la fin de la journée.
Pendant tout ce temps, le Denafrips Terminator se mettait en chauffe.
Ce fut à son tour d’entrer en scène...
L’occasion nous avait été donnée de l'écouter précédemment chez Pascal la semaine dernière. J’attendais de l’écouter à la maison afin de me forger une opinion plus claire avec des repères auditifs et acoustiques qui me sont plus familiers.
On monte d’un cran, c’est évident.
Étant donné que le système actuel est relativement abouti et assez résolvant. Tout ce dont le Denafrips doit s’entendre.
Ce dernier est très précis, très détaillé, très transparent.
Il apporte à la scène sonore encore plus d’ampleur car les silences sont plus nets, les instruments sont mieux détourés et les pupitres extrêmement bien placés. Cela ne se fait pas au détriment de la cohérence globale du morceau et des instruments joués. C’est équilibré.
Ce qui m’a le plus surpris, ce sont les détails, que je croyais être des micros-détails et, qui là apparaissent de façon plus évidentes, plus détaillés, là encore.
Sur « Private Investigation » un peu après 3min 30 sec, les bruits de pas son évident et non pas perdu au fin fond de la scène.
Sur « M’Bifo » de Rokia Traoré, il y a de très petites percussions qui paraissent de l’ordre du presque bruissement avec le NFB7 et deviennent de réelles mini percussions avec le Terminator. C’est saisissant.
Pour rejoindre, mais à mi-chemin seulement, « l’impression » de Pascal sur les graves. Car pour certains, le grave est un sujet en soit. Il y a une nette différence.
La nuit portant conseil, je ne voulais ni faire de jugement à l’emporte-pièce, ni ne pas être capable de décrire ce qu’il s’est passé.
Car je le répète, on prend ses habitudes chez soi, et dès que quelque chose diffère, c’est plus ou moins.
Avec le recul, j’abonde dans le sens de Pascal au niveau du ressenti immédiat.
Cependant, afin d’être parfaitement objectif, du moins je l’espère, le NFB7 fait du grave. C’est sûr, mais il est certainement moins propre et précis que sur le Dénafrips.
J’impute cette impression de plus de graves à l’imprecision du NFB7 par rapport au Dénafrips sur ce registre.
Par voie de conséquence, la première impression est qu’il y en a moins.
Je ne le crois pas. Il est plus précis et détaillé donc moins rond, et moins présent.
Cela reste une impression et une interprétation personnelle. Je reste ouvert à tout échange constructif à ce sujet. Étant donné qu’il s’agit d’un vaste sujet et que nous n’avons écouté le Dénafrips que durant quelques heures, il faudra très certainement l’écouter de nouveau et le ré-écouter pour se forger un avis plus claire et plus tranché. Cela tombe très bien, car il semblerait que le Termnator se soit installé chez nos amis pour un bon moment.
Bref, comme à l’accoutumé, les journées sont trop courtes, d’autant plus que le soleil nous quitte bien tôt en ce moment.
Nos amis sont repartis dans leurs pénates.
A très bientôt, chez vous, au Home Sweet Home, ou bien ailleurs.
De toute façon, la semaine c’est confit, avec à la clef une opération carcasses. Alors, si celà vous dit...
Schussssss.
Merci pour tes bons mots, cela fait plaisir de se dire que le travail effectué ces derniers mois n’a pas été vain. Que la direction prise était la bonne. Il a encore des axes d'améliorations. J’y travaillerais ultérieurement. Pour le moment, une pause musicale, de quelques mois, s’impose.
En attendant, il me reste à faire aboutir le projet I2S, et régler ce petit souci de 50hz qui se promène dans les HP. Et, ranger tout ce fatras de câbles divers et variés (le perforateur, les trépans et les prises vont s’installer au mur prochainement). En se moment, on est plus sur une mise en œuvre « en l’air » comme sur certaines électroniques de qualité.
Après une fin de semaine que nous pourrions qualifier de Bretonne, le ciel s’est magistralement dévoilé pour accueillir nos amis Roland et Pierre.
Cela s’annonçait être une très belle journée, d’autant plus que nos compères, comme l’a indiqué Pascal, ne sont pas venus les mains vides.
Après un café en terrasse, nous nous sommes installés au salon.
Première écoutes avec le système dans sa configuration quotidienne.
Prise et reprises de nos morceaux communs. Rien à dire de mon côté. Forcément, nous sommes dans une version quasi aboutie. Même si le DAC devient le maillon faible de la chaîne, il s’en sort très bien le bougre.
Pour rappel, les morceaux de référence écoutés sur des plages courtes sont les suivants :
- The Oscar Peterson Trio « You look gord to me » en WAV 16b/44kHz. DR 12.
- Dire Straits « Private investigation » même format. DR 16.
- Youn Sun Nah « Lento », cettte fois-çi en FLAC 16/44. DR 8.
- Hadouk Trio « Intro » et « Baldamore », toujours en FLAC 16/44. DR 6.
Roland propose l’essai du Van Den Hul The Second en version XRL entre le DAC et le Pré. Effectivement, le ressenti est différent. Ce câble est plus doux partout. La musique s’en est retrouvé apaisée. Nous validons et gardons ce câble pour le reste de la journée.
Puis, vient s’immiscer la carte superclock SOTM entre le player et le DAC. Là aussi, le ressenti est supérieur, l’on gagne en naturel, en espace, en capacité à faire des graves propres. Carte validée à l’unanimité. Elle restera en place jusqu’à la fin de la journée.
Pendant tout ce temps, le Denafrips Terminator se mettait en chauffe.
Ce fut à son tour d’entrer en scène...
L’occasion nous avait été donnée de l'écouter précédemment chez Pascal la semaine dernière. J’attendais de l’écouter à la maison afin de me forger une opinion plus claire avec des repères auditifs et acoustiques qui me sont plus familiers.
On monte d’un cran, c’est évident.
Étant donné que le système actuel est relativement abouti et assez résolvant. Tout ce dont le Denafrips doit s’entendre.
Ce dernier est très précis, très détaillé, très transparent.
Il apporte à la scène sonore encore plus d’ampleur car les silences sont plus nets, les instruments sont mieux détourés et les pupitres extrêmement bien placés. Cela ne se fait pas au détriment de la cohérence globale du morceau et des instruments joués. C’est équilibré.
Ce qui m’a le plus surpris, ce sont les détails, que je croyais être des micros-détails et, qui là apparaissent de façon plus évidentes, plus détaillés, là encore.
Sur « Private Investigation » un peu après 3min 30 sec, les bruits de pas son évident et non pas perdu au fin fond de la scène.
Sur « M’Bifo » de Rokia Traoré, il y a de très petites percussions qui paraissent de l’ordre du presque bruissement avec le NFB7 et deviennent de réelles mini percussions avec le Terminator. C’est saisissant.
Pour rejoindre, mais à mi-chemin seulement, « l’impression » de Pascal sur les graves. Car pour certains, le grave est un sujet en soit. Il y a une nette différence.
La nuit portant conseil, je ne voulais ni faire de jugement à l’emporte-pièce, ni ne pas être capable de décrire ce qu’il s’est passé.
Car je le répète, on prend ses habitudes chez soi, et dès que quelque chose diffère, c’est plus ou moins.
Avec le recul, j’abonde dans le sens de Pascal au niveau du ressenti immédiat.
Cependant, afin d’être parfaitement objectif, du moins je l’espère, le NFB7 fait du grave. C’est sûr, mais il est certainement moins propre et précis que sur le Dénafrips.
J’impute cette impression de plus de graves à l’imprecision du NFB7 par rapport au Dénafrips sur ce registre.
Par voie de conséquence, la première impression est qu’il y en a moins.
Je ne le crois pas. Il est plus précis et détaillé donc moins rond, et moins présent.
Cela reste une impression et une interprétation personnelle. Je reste ouvert à tout échange constructif à ce sujet. Étant donné qu’il s’agit d’un vaste sujet et que nous n’avons écouté le Dénafrips que durant quelques heures, il faudra très certainement l’écouter de nouveau et le ré-écouter pour se forger un avis plus claire et plus tranché. Cela tombe très bien, car il semblerait que le Termnator se soit installé chez nos amis pour un bon moment.
Bref, comme à l’accoutumé, les journées sont trop courtes, d’autant plus que le soleil nous quitte bien tôt en ce moment.
Nos amis sont repartis dans leurs pénates.
A très bientôt, chez vous, au Home Sweet Home, ou bien ailleurs.
De toute façon, la semaine c’est confit, avec à la clef une opération carcasses. Alors, si celà vous dit...
Schussssss.
Serveur à la sauce Bordelaise sous Euphony.
ClearAudio Émotion (DL103) - JCT Neith.
D250 EP - MPC Mélodie - Atlantis Acoustique Argentera.
Mibox 4. Benq 1070 - Visivo Lusso.
Installation : Home Sweet Home
ClearAudio Émotion (DL103) - JCT Neith.
D250 EP - MPC Mélodie - Atlantis Acoustique Argentera.
Mibox 4. Benq 1070 - Visivo Lusso.
Installation : Home Sweet Home