03-21-2016, 09:50 PM
(Modification du message : 03-21-2016, 09:54 PM par Musicalbox.)
Si celui-là te convient jalucine, c'est juste tout ce qui est important.
Contrairement aux idées reçues,
créer un câble équilibré est mille fois plus difficile que faire un câble qui a une signature de couleur ou de dynamique.
Les gens pensent que c'est le travail sur une identité qui est du travail, et qu'un câble "simplement" équilibré c'est basique.
En fait c'est tout l'inverse.
Pourquoi ?
Car chaque composant laisse sa signature.
La neutralité n'existe pas.
Donc formuler un câble c'est
- lister les caractéristiques souhaitées (lisibilité, articulation, dynamique, bande passante, présence de l'image, tenue, etc, etc, etc)
- identifier et rassembler les composants qui vont apporter ces éléments,
- régler les "conflits internes", car certains composants nécessitent un réglage spécifique pour pouvoir être associés à d'autres,
- et équilibrer le tout pour que rien ne dépasse,
- sans pour autant que cela devienne clinique et ennuyeux.
Pas si simple.
Dès qu'on commence à s'extraire de la compensation, et qu'on entre dans la " haute et libre résolution ", il faut tout mettre à ce critère car le moindre défaut du matériel est mis en évidence.
Je me méfie du cuivre car il a des brillances traîtres.
Quand on commence à mettre des câbles à haut niveau de définition le nouveau câble peut être perçu comme ascendant ou brillant, alors qu'en réalité il révèle une brillance qui traîne ailleurs dans le système et qui se fondait dans la masse ou la compensation.
Dès que toute la ligne est en haute résolution, il n'y a plus de traîtres effets, on est en direct sur le matériel.
S'il y a un souci c'est que ça vient de lui.
Et dès qu'il n'y a plus rien qui déraille on est en direct sur l'enregistrement.
Les câbles HP sont les plus difficiles à composer.
Parce que les HP réagissent.
Et même si le câble universel n'existe pas un fabricant doit quand même faire du polyvalent.
Pour ce qui est du câblage interne ma façon de voir est que c'est au concepteur d'équilibrer le choix des HP, de régler le filtre, et ensuite on envoie le max partout avec le même câblage pour tout le monde.
Il me semble que c'est là qu'on a le meilleur résultat.
Mais l'expérience me manque encore dans ce domaine.
Sur les Spendor il est absolument impossible de brancher un câble différent en haut d'en bas, c'est immédiatement la sensation d'avoir le cerveau décalé.
Même le simple fait de mettre un câble neuf sur les deux, pourtant identiques, ça décale déjà.
Il y a beaucoup de paramètres dans une enceinte.
C'est difficile à mettre au point.
Contrairement aux idées reçues,
créer un câble équilibré est mille fois plus difficile que faire un câble qui a une signature de couleur ou de dynamique.
Les gens pensent que c'est le travail sur une identité qui est du travail, et qu'un câble "simplement" équilibré c'est basique.
En fait c'est tout l'inverse.
Pourquoi ?
Car chaque composant laisse sa signature.
La neutralité n'existe pas.
Donc formuler un câble c'est
- lister les caractéristiques souhaitées (lisibilité, articulation, dynamique, bande passante, présence de l'image, tenue, etc, etc, etc)
- identifier et rassembler les composants qui vont apporter ces éléments,
- régler les "conflits internes", car certains composants nécessitent un réglage spécifique pour pouvoir être associés à d'autres,
- et équilibrer le tout pour que rien ne dépasse,
- sans pour autant que cela devienne clinique et ennuyeux.
Pas si simple.

Dès qu'on commence à s'extraire de la compensation, et qu'on entre dans la " haute et libre résolution ", il faut tout mettre à ce critère car le moindre défaut du matériel est mis en évidence.
Je me méfie du cuivre car il a des brillances traîtres.
Quand on commence à mettre des câbles à haut niveau de définition le nouveau câble peut être perçu comme ascendant ou brillant, alors qu'en réalité il révèle une brillance qui traîne ailleurs dans le système et qui se fondait dans la masse ou la compensation.
Dès que toute la ligne est en haute résolution, il n'y a plus de traîtres effets, on est en direct sur le matériel.
S'il y a un souci c'est que ça vient de lui.
Et dès qu'il n'y a plus rien qui déraille on est en direct sur l'enregistrement.
Les câbles HP sont les plus difficiles à composer.
Parce que les HP réagissent.
Et même si le câble universel n'existe pas un fabricant doit quand même faire du polyvalent.
Pour ce qui est du câblage interne ma façon de voir est que c'est au concepteur d'équilibrer le choix des HP, de régler le filtre, et ensuite on envoie le max partout avec le même câblage pour tout le monde.
Il me semble que c'est là qu'on a le meilleur résultat.
Mais l'expérience me manque encore dans ce domaine.
Sur les Spendor il est absolument impossible de brancher un câble différent en haut d'en bas, c'est immédiatement la sensation d'avoir le cerveau décalé.
Même le simple fait de mettre un câble neuf sur les deux, pourtant identiques, ça décale déjà.
Il y a beaucoup de paramètres dans une enceinte.
C'est difficile à mettre au point.