Cela faisait presque longtemps que Nathalie n’était pas intervenue sur ce fil. Mais l’abstention ne doit pas être un mot inclus dans son dictionnaire personnel. Au début, je trouvais déjà ses propos quelque peu décalés, mais c’était apparemment le lot commun de tous les fils sur les câbles audio, et une bonne partie des intervenants, et même aussi les fabricants avec qui j’ai pu avoir quelques discussions. J’avais rangé ça dans le placard « domaine où il faut d’abord et essentiellement croire en ce que l’on fait ». Et pour le consommateur : ne croire que en ce que l’on entend.
Et puis j’ai eu l’occasion de tester un câble HP WhyNot et j’ai reconnu qu’il avait beaucoup de qualités. J’avais eu quelques difficultés à faire le rapport entre les propos de l’auteure et ce que j’écoutais de ses produits et avais donc évoqué une intervention divine, par l’intermédiaire de Notre Dame de Lisieux par probabilité géographique. Le personnage sortait partiellement de la catégorie loufoque incurable.
Cependant, je suis d’accord avec certaines des affirmations péremptoires de son dernier post comme : « L’expérience a aussi confirmé que les Devialet sont très sensible à tout ce qui leur est associé.
D’ou des variations parfois pas compréhensibles d’un système à l’autre avec le même ampli. ».
C’est ce que je dis depuis six ans. Leurs extrêmes transparence, définition, dynamique révèlent les non-linéarités et distorsions même minimes des sources, des câbles et des enregistrements, et en aval les résonances et pointes de dynamique des enceintes et des salles. On peut préférer un ampli mou, peu défini et pas trop révélateur des défauts pour écouter une musique d’ambiance bien soporifique. Je respecte absolument tous les choix des amateurs de musique.
Je suis sensiblement moins d’accord sur : « les Devialet, du plus petit au plus gros, on un couvercle sur les aigus.
Ça ne file absolument pas en haut.
Et les écarts dynamiques sont très linearisés. «
On se demande vraiment quel intérêt de donner un tel avis qui va être estimé complètement ridicule par tous ceux qui ont écouté avec un minimum d’attention un Devialet dans un système à peu près réglé. Car au contraire, si on utilise des enceintes potables, même avec des câbles blindés, il faudrait être de très mauvaise foi pour ne pas reconnaitre la qualité de l’aigu, très étendu, très expressif, très bien intégré dans les timbres, d’une capacité hors du commun sur par exemple toutes les formes de percussion, etc…
Et les écarts dynamiques très linéarisés, si on parle de la même chose, permettent d’avoir la même dynamique sur l’ensemble du spectre, et quel que soit le niveau de volume, ce qui évite savoir des détimbrages en fonction du niveau sonore, et d’écouter sans perte de définition même à bas niveau d’écoute. Donc pour moi des avantages très significatifs.
Nathalie : l’art de perdre sa crédibilité. C’est dommage, mais on n'y peut rien.
Et puis j’ai eu l’occasion de tester un câble HP WhyNot et j’ai reconnu qu’il avait beaucoup de qualités. J’avais eu quelques difficultés à faire le rapport entre les propos de l’auteure et ce que j’écoutais de ses produits et avais donc évoqué une intervention divine, par l’intermédiaire de Notre Dame de Lisieux par probabilité géographique. Le personnage sortait partiellement de la catégorie loufoque incurable.
Cependant, je suis d’accord avec certaines des affirmations péremptoires de son dernier post comme : « L’expérience a aussi confirmé que les Devialet sont très sensible à tout ce qui leur est associé.
D’ou des variations parfois pas compréhensibles d’un système à l’autre avec le même ampli. ».
C’est ce que je dis depuis six ans. Leurs extrêmes transparence, définition, dynamique révèlent les non-linéarités et distorsions même minimes des sources, des câbles et des enregistrements, et en aval les résonances et pointes de dynamique des enceintes et des salles. On peut préférer un ampli mou, peu défini et pas trop révélateur des défauts pour écouter une musique d’ambiance bien soporifique. Je respecte absolument tous les choix des amateurs de musique.
Je suis sensiblement moins d’accord sur : « les Devialet, du plus petit au plus gros, on un couvercle sur les aigus.
Ça ne file absolument pas en haut.
Et les écarts dynamiques sont très linearisés. «
On se demande vraiment quel intérêt de donner un tel avis qui va être estimé complètement ridicule par tous ceux qui ont écouté avec un minimum d’attention un Devialet dans un système à peu près réglé. Car au contraire, si on utilise des enceintes potables, même avec des câbles blindés, il faudrait être de très mauvaise foi pour ne pas reconnaitre la qualité de l’aigu, très étendu, très expressif, très bien intégré dans les timbres, d’une capacité hors du commun sur par exemple toutes les formes de percussion, etc…
Et les écarts dynamiques très linéarisés, si on parle de la même chose, permettent d’avoir la même dynamique sur l’ensemble du spectre, et quel que soit le niveau de volume, ce qui évite savoir des détimbrages en fonction du niveau sonore, et d’écouter sans perte de définition même à bas niveau d’écoute. Donc pour moi des avantages très significatifs.
Nathalie : l’art de perdre sa crédibilité. C’est dommage, mais on n'y peut rien.