Voilà, je trouve enfin le temps de me poser un peu pour donner mes impressions sur ces Jalucine 24.
J'ai la chance d'être banlieusarde du sud-ouest parisien donc Orléans est à un peu plus d'une heure d'autoroute. Je ne sais pas si j'aurai eu le courage de Frédéric et Laurent de venir d'aussi loin.
En tout cas cela m'a fait plaisir de vous rencontrer. Les occasions de réunions entre audiophiles sont assez rares et surtout difficiles à caser quand on a un emploi du temps chargé.
Je renouvelle mes remerciement à Philippe pour son accueil, son café et sa façon de partager sa passion sans faire étalage de ses connaissances, que je soupçonne grandes et qui sont le fruit d'années d'expérimentations.
Lorsque je suis arrivée les jalucine étaient en action avec un des morceaux de Frédéric qu'il qualifie lui-même de bizarre.
Du bizarre que j'ai aimé donc Frédéric tu me donneras le nom de cette harpiste australienne que j'explore un peu ses oeuvres et interprétations.
On me laisse ensuite la place de choix et Philippe ouvre sa playlist de test. La souris point sur "Ode to Billiy Joe" interprétée par Patricia Barber, une de mes artistes favorites. Que dire? Je suis scotchée au fond du fauteuil cosy avec mon café à la main.
Patricia Barber est là en face de moi, Micheal Arnopol, et sa contrebasse sont là également et les claquements de doigt qui donnent le rythme claquent avec un réalisme d'un très grand netteté.
Rien ne dépasse tout est net, clair, dynamique. Le grave est sans bavure et percutant.
Bref, j'ai l'impression de me retrouver au concert de Patricia auquel j'ai assisté, assise au premier rang en mai 2015 au New Morning.
Ma décision de me lancer dans la construction de ces enceintes étaient prise à 99%. Cette ode à Billy Joe achève de me convaincre.
Ensuite une piste que je ne connaissais pas : "Gnomus", une transcription pour orgue de jean Guillou, de Pictures at an exhibition de Mussorgsky. Là encore l'impression d'être dans la place. Je discerne les notes avec une grande acuité . Le niveau sonore est assez élevé mais aucune impression agressive. Je sens presque l'air passer dans les tuyaux d'orgue.
Plusieurs pistes s'enchainent de tous les genres. Aucune ne prend en dessus ce système. Les 24 retranscrivent tout cela avec la clarté voulue.
Dans cette playlist de test je repère "Stimela" de l'album Hope de Hugh Masekela. Ce sera un peu un point de repère par rapport à mes écoutes au dernier salon Hifi de Novembre. Sur le système Bel Canto associé aux TAD une piste de cet album m'avait laissée sans voix par le très grand réalisme de la scène sonore.
Je retrouve les mêmes sensations et le même plaisir d'écoute avec les Jalucine 24.
Je n'ai pas encore une très grande expérience en matière d'écoutes. Mes références sont limitées mais comme Laurent l'a écrit plus haut. On comprend plus facilement ce que certains termes du monde audiophile veulent dire après une telle séance d'écoute.
Je m'interroge cependant. Ces enceintes seront-elles correctement alimentées par mon IN100SE? Mon ampli actuel n'est certainement pas comparable aux 2 Devialet 800 de Philippe.
Philippe est rassurant. Le rendement des 24 est de 96db, elles sont donc relativement faciles à conduire. Ensuite la conception du filtre permet de jouer assez facilement pour adapter les enceintes à ce qui la nourrit et à la pièce dans laquelle elle se trouve.
S'il y avait eu une dernière hésitation, ceci aurait achevé de la lever.
Frédéric et Laurent doivent reprendre la route. Je reste encore pour écouter ce système pendant que Philippe prépare mes câbles PSC audio dont j'ignore la construction. (Je les avais acheté d'occasion, après essai, à un importateur de HDG qui prenait sa retraite et vidait ses stocks. ) Hormis les monobrins de 1.3 mm de diamètre, semblent-ils plaqués argent ou alliage d'argent, à chaque extrémité je ne sais pas ce que recouvre cette gaine plate noire de 40mm de large.
Philippe leur trouve un léger manque dans l'extrême aigu. De mon coté je sentais une petite différence dans les graves par rapport à ses Vecteurs écoutés juste avant.
18h30, l'heure de reprendre la route.
Après être rentrée et avoir rebranché mes câbles entre mon Atoll et les Elipson, je cherche sur Qobuz cette fameuse piste d'orgue "Gnomus". Pas de surprise. C'est moins net, moins fouillé, moins percutant. Moins de tout quoi et pourtant je préfère mon système à ce que j'ai entendu dans certains auditoriums avec des systèmes beaucoup plus onéreux.
Les 24 m'ont séduite. Ca va être le projet DIY de l'été.
Bon alors Olivier! On la passe cette commande?????


J'ai la chance d'être banlieusarde du sud-ouest parisien donc Orléans est à un peu plus d'une heure d'autoroute. Je ne sais pas si j'aurai eu le courage de Frédéric et Laurent de venir d'aussi loin.
En tout cas cela m'a fait plaisir de vous rencontrer. Les occasions de réunions entre audiophiles sont assez rares et surtout difficiles à caser quand on a un emploi du temps chargé.
Je renouvelle mes remerciement à Philippe pour son accueil, son café et sa façon de partager sa passion sans faire étalage de ses connaissances, que je soupçonne grandes et qui sont le fruit d'années d'expérimentations.
Lorsque je suis arrivée les jalucine étaient en action avec un des morceaux de Frédéric qu'il qualifie lui-même de bizarre.
Du bizarre que j'ai aimé donc Frédéric tu me donneras le nom de cette harpiste australienne que j'explore un peu ses oeuvres et interprétations.
On me laisse ensuite la place de choix et Philippe ouvre sa playlist de test. La souris point sur "Ode to Billiy Joe" interprétée par Patricia Barber, une de mes artistes favorites. Que dire? Je suis scotchée au fond du fauteuil cosy avec mon café à la main.
Patricia Barber est là en face de moi, Micheal Arnopol, et sa contrebasse sont là également et les claquements de doigt qui donnent le rythme claquent avec un réalisme d'un très grand netteté.
Rien ne dépasse tout est net, clair, dynamique. Le grave est sans bavure et percutant.
Bref, j'ai l'impression de me retrouver au concert de Patricia auquel j'ai assisté, assise au premier rang en mai 2015 au New Morning.
Ma décision de me lancer dans la construction de ces enceintes étaient prise à 99%. Cette ode à Billy Joe achève de me convaincre.
Ensuite une piste que je ne connaissais pas : "Gnomus", une transcription pour orgue de jean Guillou, de Pictures at an exhibition de Mussorgsky. Là encore l'impression d'être dans la place. Je discerne les notes avec une grande acuité . Le niveau sonore est assez élevé mais aucune impression agressive. Je sens presque l'air passer dans les tuyaux d'orgue.
Plusieurs pistes s'enchainent de tous les genres. Aucune ne prend en dessus ce système. Les 24 retranscrivent tout cela avec la clarté voulue.
Dans cette playlist de test je repère "Stimela" de l'album Hope de Hugh Masekela. Ce sera un peu un point de repère par rapport à mes écoutes au dernier salon Hifi de Novembre. Sur le système Bel Canto associé aux TAD une piste de cet album m'avait laissée sans voix par le très grand réalisme de la scène sonore.
Je retrouve les mêmes sensations et le même plaisir d'écoute avec les Jalucine 24.
Je n'ai pas encore une très grande expérience en matière d'écoutes. Mes références sont limitées mais comme Laurent l'a écrit plus haut. On comprend plus facilement ce que certains termes du monde audiophile veulent dire après une telle séance d'écoute.
Je m'interroge cependant. Ces enceintes seront-elles correctement alimentées par mon IN100SE? Mon ampli actuel n'est certainement pas comparable aux 2 Devialet 800 de Philippe.
Philippe est rassurant. Le rendement des 24 est de 96db, elles sont donc relativement faciles à conduire. Ensuite la conception du filtre permet de jouer assez facilement pour adapter les enceintes à ce qui la nourrit et à la pièce dans laquelle elle se trouve.
S'il y avait eu une dernière hésitation, ceci aurait achevé de la lever.
Frédéric et Laurent doivent reprendre la route. Je reste encore pour écouter ce système pendant que Philippe prépare mes câbles PSC audio dont j'ignore la construction. (Je les avais acheté d'occasion, après essai, à un importateur de HDG qui prenait sa retraite et vidait ses stocks. ) Hormis les monobrins de 1.3 mm de diamètre, semblent-ils plaqués argent ou alliage d'argent, à chaque extrémité je ne sais pas ce que recouvre cette gaine plate noire de 40mm de large.
Philippe leur trouve un léger manque dans l'extrême aigu. De mon coté je sentais une petite différence dans les graves par rapport à ses Vecteurs écoutés juste avant.
18h30, l'heure de reprendre la route.
Après être rentrée et avoir rebranché mes câbles entre mon Atoll et les Elipson, je cherche sur Qobuz cette fameuse piste d'orgue "Gnomus". Pas de surprise. C'est moins net, moins fouillé, moins percutant. Moins de tout quoi et pourtant je préfère mon système à ce que j'ai entendu dans certains auditoriums avec des systèmes beaucoup plus onéreux.
Les 24 m'ont séduite. Ca va être le projet DIY de l'été.
Bon alors Olivier! On la passe cette commande?????


(04-01-2016, 11:50 PM)Olivier a écrit : Sans transition : mhp est ok pour la commande de 2440 et 2400.Bonne nouvelle

(04-02-2016, 08:24 AM)VirtualFred a écrit : Dommage que nous nous sommes "croisés" un peu trop rapidement.Oui, également
J24 et des totors autour.