Bonjour 242 (heu... pourquoi 242 ?)
Emotion... J'ai tenté un CR objectiviste.
Maintenant, j'ai un naturel à parler de ressenti et d'émotion. Voire à me l'imaginer en placebo
.
Mais la communauté de vocabulaire va être encore plus restreinte pour me faire comprendre. Et ça signifie aussi qu'il faut alors avoir une connaissance commune des œuvres.
Commençons par le FOOT TAPING. Sur le morceau trombones, Tommy Pederson, il vient naturellement et d'office.
Sur Violoncelle et piano, j'ai évoqué l'extinction des notes. Celles qui restent en suspend et qui peuvent te créer une forme de syncope de la respiration, comme une arythmie.
Percevoir le jeux d'archet t'implique dans l'œuvre, comme la ponctuation à la lecture d'un texte où le choix des mots, par le nombre de leurs syllabes, pourra donner le rythme.
c'était certainement l'extrait le plus 'émotif' des CD apportés. ALKAN est un compositeur à découvrir.
Chez Nathalie, je suis rentré immédiatement dans le contexte de cette sonate, sans effort.
J'aurai pu prendre plus émotif : La Pavane... de Ravel.
Pour l'Opera, nous étions avec du léger, la "pie voleuse". Ce n'est pas le passage qui tire les larmes, et Rossini n'est pas Puccini, mais il y a un duo tenor-soprane avec déplacement sur l'extrait que je souhaitais entendre. Pour l'émotion, les vibratos des voix sont nets, et la soprane ne vrille pas les oreilles.
L'orchestre, bien que sonnant mat, est parfaitement respecté dans ce souffle des cordes qui soutient les voix.
Et ... contrairement aux récitatifs habituels, nous avons bien perçu que ce n'était pas un clavecin, mais un piano forte (très très forte, vraiment peu peu piano !).
Je n'avais pas apporté la TOSCA ou la BOHEME pour éviter la boite de Kleenex !
Le Boysen est plutôt une musique sensation que émotion, comme savent en écrire les compositeurs américains pour les Brass Band et les musiques de film. C'est vite brouillon et incompréhensible. Je n'avais pas pensé à prendre le Mandarin Merveilleux ou l'Oiseau de Feu qui peuvent aussi être redoutables, mais j'ai moins d'e plaisir sur ces œuvres, et j'aime ces orchestres d'Universités américaines ou les musiciens apprennent à jouer ensemble, et non pas chacun comme un soliste (ce qui est plutôt la vision d'apprentissage en France). De plus, la prise de son est cohérente et homogène.
Pour conclure mon CR, j'ai néanmoins conservé l'ultime objectif : Une écoute simplement musicale, jamais fatigante.
La chaine de Nathalie est travaillée comme de "la lutherie électronique", sauf que là, le but de cette lutherie est ... de ne pas "sonner", mais d'être neutre.
Emotion... J'ai tenté un CR objectiviste.

Maintenant, j'ai un naturel à parler de ressenti et d'émotion. Voire à me l'imaginer en placebo

Mais la communauté de vocabulaire va être encore plus restreinte pour me faire comprendre. Et ça signifie aussi qu'il faut alors avoir une connaissance commune des œuvres.
Commençons par le FOOT TAPING. Sur le morceau trombones, Tommy Pederson, il vient naturellement et d'office.
Sur Violoncelle et piano, j'ai évoqué l'extinction des notes. Celles qui restent en suspend et qui peuvent te créer une forme de syncope de la respiration, comme une arythmie.
Percevoir le jeux d'archet t'implique dans l'œuvre, comme la ponctuation à la lecture d'un texte où le choix des mots, par le nombre de leurs syllabes, pourra donner le rythme.
c'était certainement l'extrait le plus 'émotif' des CD apportés. ALKAN est un compositeur à découvrir.
Chez Nathalie, je suis rentré immédiatement dans le contexte de cette sonate, sans effort.
J'aurai pu prendre plus émotif : La Pavane... de Ravel.
Pour l'Opera, nous étions avec du léger, la "pie voleuse". Ce n'est pas le passage qui tire les larmes, et Rossini n'est pas Puccini, mais il y a un duo tenor-soprane avec déplacement sur l'extrait que je souhaitais entendre. Pour l'émotion, les vibratos des voix sont nets, et la soprane ne vrille pas les oreilles.
L'orchestre, bien que sonnant mat, est parfaitement respecté dans ce souffle des cordes qui soutient les voix.
Et ... contrairement aux récitatifs habituels, nous avons bien perçu que ce n'était pas un clavecin, mais un piano forte (très très forte, vraiment peu peu piano !).
Je n'avais pas apporté la TOSCA ou la BOHEME pour éviter la boite de Kleenex !
Le Boysen est plutôt une musique sensation que émotion, comme savent en écrire les compositeurs américains pour les Brass Band et les musiques de film. C'est vite brouillon et incompréhensible. Je n'avais pas pensé à prendre le Mandarin Merveilleux ou l'Oiseau de Feu qui peuvent aussi être redoutables, mais j'ai moins d'e plaisir sur ces œuvres, et j'aime ces orchestres d'Universités américaines ou les musiciens apprennent à jouer ensemble, et non pas chacun comme un soliste (ce qui est plutôt la vision d'apprentissage en France). De plus, la prise de son est cohérente et homogène.
Pour conclure mon CR, j'ai néanmoins conservé l'ultime objectif : Une écoute simplement musicale, jamais fatigante.
La chaine de Nathalie est travaillée comme de "la lutherie électronique", sauf que là, le but de cette lutherie est ... de ne pas "sonner", mais d'être neutre.
Ce n'est pas toi qui aimes la Musique... Mais la Musique qui te fait aimer... Thierry.
Mon contexte : http://www.living-leedh.com/?page_id=528
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