01-17-2020, 12:46 PM
(01-14-2020, 11:07 PM)Mellowman a écrit : A mon avis l'intérêt des SACDs Linn est très relatif, sauf si on attache plus d'importance à la technique qu'à la valeur artistique du SACD.
En ce sens, peu d'éditeurs arrivent à conjuguer les deux aspects.
Comme déjà cité plus haut, Bis et Channel Classic me paraissent être de ceux-là., en DSD natif.
Le travail d'Esoteric porte sur des interprétations de référence; le résultat est de qualité, mais ne me fait tout de même pas vibrer.
D'accord pour les Linn. J'ai moi aussi du mal. Artistiquement, ce n'est pas l'extase et je trouve que leur prise de son ou je ne sais quoi ne met pas en lumière le DSD par rapport à dur PCM.
Ecouter du DSD Linn ou du PCM, c'est kif kif...
Pour Esoteric, les Tableaux par l'Ansermet ou le violoncelle de Pierre Fournier déchire quand même !
J'en ai la plus grande partie.
Bon, je ne me relève pas la nuit pour écouter Respighi, la sonorité du piano de Pollini ne plaira pas à tout le monde et Kaneko n'est pas l'artiste qui va me tirer les larmes par sa subtilité mais la collection mérite vraiment d'être étudiée.
Sinon, en ce moment, j'écoute Rachel Podger, album Grandissima Gravita, en DSD256 (enregistrement natif en DSD256, lu en natif 256) et cela mérite le détour. Uniquement pour les systèmes parfaitement équilibrés, dans des pièces à l'acoustique maitrisée car le violon est un instrument exigeant. Mais à ce prix, on s'y croit.
Laurent.
L'Intention Musicale - Toulouse