Ehhh oui dans ce monde de fous (audiophiles) l’originalité des choix n’est pas un gage de réussite, donc quand on a pû entendre quelque chose qui marche par soi même, et qu’en plus c’est validé par une oreille exercée et sur une base matérielle qu’on a déjà suivi faute de trouver mieux par soi même (combien d’amplis j’ai eu ou entendu qui se sont cassé le nez sur les M800...), c’est un choix où le risque le plus élevé est de se faire plaisir... même pas honte de copier sur le voisin au contrôle cette fois (c’était toujours les autres qui copiaient sur moi en cours, comme au boulot, ça change....
).
Que des choix muris bien sûr, même si ceux qui me connaissent savent que je ne suis pas du genre à laisser pourrir le fruit avant de le cueillir
, celui ci date du jour où j’ai entendu le Tambaqui en action chez Joël, ni vieux ni pondu d’une quinzaine, et oui c’est un peu l’idée de la rupture technologique qui marche qui attire, un peu comme l’on a pû être attiré par les FDA je l’avoue, et dans ce cadre je suis bien persuadé que chaque système et auditeur n’y trouverait pas son compte, en particulier parce que la restitution me semble couper les ponts entre types de fichiers, une sorte de linéarisation par le haut des résultats dont l’auditeur pourra retenir l’aspect linéarisé en première écoute, réel de par la technologie employée. Joël a raison de parler de dac « spécial » à mon humble avis car il faut oublier un peu ce que l’on a l’habitude d’exploiter au niveau sonore avec les autres dacs, et se concentrer sur la musique et l’optimisation autours.
Mais cela ouvre une porte sur une possibilité de système haut perché et simple: un serveur roon (optimisation à étudier selon besoins et constats de résultats, selon la pièce / convolution...), Tambaqui, un bloc de puissance et des enceintes (ou des enceintes amplifiées). Et oui Jonathan l’on peut se dire que trop de tube peut devenir une source de restitution incertaine, pas de généralité mais c’est souvent un choix d’amour quand même, un beau système tube ou en grande partie tube peut faire des merveilles auditives, un choix de triodes peut donner des durées de vie longue où les tubes varient peu, mais chaque maillon mettant sa patte sonore sur le résultat, cela reste une restitution « travaillée ». Qu’est ce qui plait alors, la techno du dac, ou bien une somme correspondant à un dac et des étages analogiques tenant plus du préampli à tube que d’un simple étage direct pour le maillon suivant. Pas de mauvais choix, juste des choix.
Merci Joël, j’ai de quoi m’occuper avec ce dac pour quelques temps
L’introduction du préampli fera nécessairement l’introduction d’un cable de modulation supplémentaire, une équation à deux variables, mais j’en ferai de l’écoute attentive dans ma disposition un peu limitée acoustiquement pour le moment...
Je suis par contre très curieux de tes conclusions sur le Grimm SQM pour alimenter ma réflexion en cours et à venir sur la modulation justement. J’ai entendu dire qu’il serait au top de la transparence, mais que l’on pourrait alors en rester de marbre. Alors transparence sans humanité (là où le TPM en garde une bonne dose quand c’est bien marié), ou transparence apte à rendre l’humanité des autres éléments et donc surtout de la musique.... De mon coté peut être un Etherregen dans les mains de la (jeune et charmante) factrice ce matin.
Cordialement, Nico.

Que des choix muris bien sûr, même si ceux qui me connaissent savent que je ne suis pas du genre à laisser pourrir le fruit avant de le cueillir

Mais cela ouvre une porte sur une possibilité de système haut perché et simple: un serveur roon (optimisation à étudier selon besoins et constats de résultats, selon la pièce / convolution...), Tambaqui, un bloc de puissance et des enceintes (ou des enceintes amplifiées). Et oui Jonathan l’on peut se dire que trop de tube peut devenir une source de restitution incertaine, pas de généralité mais c’est souvent un choix d’amour quand même, un beau système tube ou en grande partie tube peut faire des merveilles auditives, un choix de triodes peut donner des durées de vie longue où les tubes varient peu, mais chaque maillon mettant sa patte sonore sur le résultat, cela reste une restitution « travaillée ». Qu’est ce qui plait alors, la techno du dac, ou bien une somme correspondant à un dac et des étages analogiques tenant plus du préampli à tube que d’un simple étage direct pour le maillon suivant. Pas de mauvais choix, juste des choix.
Merci Joël, j’ai de quoi m’occuper avec ce dac pour quelques temps

Je suis par contre très curieux de tes conclusions sur le Grimm SQM pour alimenter ma réflexion en cours et à venir sur la modulation justement. J’ai entendu dire qu’il serait au top de la transparence, mais que l’on pourrait alors en rester de marbre. Alors transparence sans humanité (là où le TPM en garde une bonne dose quand c’est bien marié), ou transparence apte à rendre l’humanité des autres éléments et donc surtout de la musique.... De mon coté peut être un Etherregen dans les mains de la (jeune et charmante) factrice ce matin.
Cordialement, Nico.
La hifi est femme. Imparfaite par nature, on la choisit pour ce qu'elle a, pas pour ce qu'elle dit avoir. Mais si on voit ses défauts avant ses qualités, on est pas fait pour en avoir une, mieux vaut se soulager sous la douche, en écoutant la radio.
Ventes à venir ou en cours (MP si intéressé pour en discuter): Leedh E2 Glass + caisson 20.1, Coincident Statement Linestage, blocs mono Coincident SE845 Turbo
Ventes à venir ou en cours (MP si intéressé pour en discuter): Leedh E2 Glass + caisson 20.1, Coincident Statement Linestage, blocs mono Coincident SE845 Turbo