09-30-2016, 11:57 AM
Bonjour,
Tout a fait d'accord avec vous ! Sauf que dans votre exemple vous décrivez la gestion de la vitesse uniquement sur l'erreur de l'accélérateur et de l'oscillation de la vitesse. Mais pour moi, le principale intérêt de la contre réaction est de pouvoir adapter la vitesse par rapport au variation de la route ! Si la route monte il faut accélérer plus pour compenser ! et inversement, il faut arrêter d'accélérer si la route descend.
En claire pour notre application (audio), contrecarrer la force contre électromotrice (FCEM) des Haut Parleurs.
La membrane du HP ayant une masse non négligeable (surtout pour les HP de grave), celle ci ne "s’arrête" pas immédiatement quand le signal de commande (sortie de l'ampli) tombe à 0 brusquement.
Pour que l'ampli puisse gérer cette FCEM correctement (qui est clairement un signal non désiré) , l'ampli doit :
- Avoir une impédance de sorti la plus faible possible (en tout cas très faible devant la charge => impédance du HP)
- Avoir une contreréaction.
De mon point de vue (et ce n'est que mon point de vue
, je ne veux pas relancer le débat), la contre réaction doit être forte. Plus elle est forte plus elle est apte à gérer cette FCEM.
Mais en effet, il faut gérer les inconvénients précédemment cités : stabilité sur charge capacitive pour éviter les oscillations.
Ce qui a pour effet en général de faire piquer les aigus.
Au tout début de la contre-réaction, celle-ci était surtout utiliser pour diminuer (voir masquer) les erreurs de conceptions des ampli. => Schema très moyen (en terme de qualité, THD principalement) + forte contre réaction = ampli au characteristiques flateuses !
Tout a fait d'accord avec vous ! Sauf que dans votre exemple vous décrivez la gestion de la vitesse uniquement sur l'erreur de l'accélérateur et de l'oscillation de la vitesse. Mais pour moi, le principale intérêt de la contre réaction est de pouvoir adapter la vitesse par rapport au variation de la route ! Si la route monte il faut accélérer plus pour compenser ! et inversement, il faut arrêter d'accélérer si la route descend.
En claire pour notre application (audio), contrecarrer la force contre électromotrice (FCEM) des Haut Parleurs.
La membrane du HP ayant une masse non négligeable (surtout pour les HP de grave), celle ci ne "s’arrête" pas immédiatement quand le signal de commande (sortie de l'ampli) tombe à 0 brusquement.
Pour que l'ampli puisse gérer cette FCEM correctement (qui est clairement un signal non désiré) , l'ampli doit :
- Avoir une impédance de sorti la plus faible possible (en tout cas très faible devant la charge => impédance du HP)
- Avoir une contreréaction.
De mon point de vue (et ce n'est que mon point de vue

Mais en effet, il faut gérer les inconvénients précédemment cités : stabilité sur charge capacitive pour éviter les oscillations.
Ce qui a pour effet en général de faire piquer les aigus.
Au tout début de la contre-réaction, celle-ci était surtout utiliser pour diminuer (voir masquer) les erreurs de conceptions des ampli. => Schema très moyen (en terme de qualité, THD principalement) + forte contre réaction = ampli au characteristiques flateuses !
Enceintes: 3 voies DIY clos avec HPs Kartesian (double Sub185_vKI sur-mesures, Wom120_vMS, Twt30_vMS et son pavillon CnC alu)
Ampli: DIY 6 voies TDA7293 + alim smps 500w.
Pré+DSP+DAC: miniDSP Flex 8.
Sources: Yamaha CD-N500, Sanyo TP725UM
Ampli: DIY 6 voies TDA7293 + alim smps 500w.
Pré+DSP+DAC: miniDSP Flex 8.
Sources: Yamaha CD-N500, Sanyo TP725UM