(12-27-2020, 12:23 AM)mélaudiophile a écrit :(12-26-2020, 11:37 PM)bbill a écrit :(12-26-2020, 11:22 PM)philippe1962 a écrit : Donc si on se contente de la qualité CD 16 bits / 44 khz, que l'on a seulement besoin d'une entrée USB et d'une sortie stéréo RCA, ce genre de DAC minimaliste n'est pas du tout ridicule, et à l'oreille, si ce que l'on doit juger est la précision, il fait très bien son job.11 pages pour en arriver la...
De cette discussion il me semble qu'il ressort aussi que le cable USB en amont est très important, la puce du DAC ne pourra pas traduire les informations qui manquent, et donc je lorgne sur ce cable qui vaut 6 fois le prix de mon DAC.
Eh oui, il faut un bon câble USB, sinon certains électrons se vexent et ils retiennent des infos qui n'arrivent pas au bout.
Je pense que lamouette qui est plus pointu que moi en matière de câbles ne me démentira pas, mais ce n'est pas à ce niveau que se situent les différences - l'informatique est bien faite (et heureusement pas par des audiophiles), toutes les infos arrivent sinon ça serait une sacrée m.....e.
Ce genre de propos alimente facilement les câblo-refuseurs (je ne dis pas sceptiques car il faut être sceptique - c'est-à-dire douter et vérifier sans préjugés). Si c'était la quantité d'infos qui était atteinte, on pourrait mesurer et choisir le meilleur, celui qui retransmet tout, facile.
l'audio numérique n'est pas de l'informatique, ça ne fonctionne pas pareil.
Expliques nous alors comment un câble usb tout à fait bon en informatique , sans aucune perte, va nous couper un piano en 2 ou en 3? Pourquoi il peut mutiler la scène? Pourquoi il peut engendrer un son plat? Jouer sur les timbres?