Hello,
Petit CR du dac Gustard X16:
Ca faisait un moment que je voulais changer mon dac Aune x1s, lequel me semblait bouchonner mon système et apportait quelques duretés.
J'ai donc choisi le nouveau Gustard X16, premier dac intégrant 2 puces ES9068AS, un contrôleur USB XMOS XU216, des horloges Accusilicon et CPLD Altera MAX II
sur des critères de
- budget : moins cher que le nouveau D70s
- Excellentes mesures : entre le dac okto 8 et le mola mola : de base, je n'y prête pas spécialement d'importance mais pour le prix, je suis curieux
- Lectures positives
Bon c'est cool tout ça, mais il faut écouter et, si ça se trouve, ça sonne comme une casserole.
Aspect:
Sorti de boite, il fait plutôt costaud sauf peut-être le bouton de volume un peu plastoc (lequel ne me servira pas, et au pire, y a une telec, donc m'en fous un peu)
Je le branche rapidement, l'allume. Un petit écran permet de régler :
- 3 filtres
- NOS on/off
- niveau de luminosité, arrêt auto de l'écran, etc.
Assez simple.
Ecoute:
Branchement en usb et roule...
J'ai passé quelques albums en revue, un peu tous les styles/qualités, du bien dégueu au dsd clinique.
A la première impression, mon écoute est un peu chamboulée.
Premier constat, la définition :
Le couple dp3/X16 fonctionne fort:
J'avais un peu peur en reprenant une puce sabre: L'Aune avait tendance à ferrailler un peu en haut, à métalliser un peu les aigus.
Je pensais au départ que seul l'atoll était responsable mais non, le dac apportait sa dose aussi, d'où mon envie de le remplacer.
C'est fini, c'est silencieux et net dans les aigus. Ca ne gratte plus du tout, bon point.
Entre l'atoll qui a été viré au profit du LM, le nuc au profit du dp3, et la disparition de l'Aune,
finies les petites duretés dispersées par les uns et les autres sur mon système.
Tranquillité totale.
C'est silencieux, précis, extrêmement détaillé mais pas froid. Les timbres sont vraiment beaux et riches.
En gros, j'ai l'impression qu'il n'est pas là
Mais en fait si, il est bien là: car ce qu'il me montre, lui, au delà de la netteté/précision, c'est la scène:
Deuxième constat : La scène éclate, beaucoup plus riche qu'avec l'Aune qui me faisait plus une immersion un peu fouilli et frontale.
Là, c'est placé, extrêmement détaillé, on visualise vraiment bien les instruments, autant en profondeur qu'en largeur.
C'est vraiment le maillon qui manquait dans tout ça.
Bref, Le quatuor dp3, X16, LM , Heco s'entend joliment et donne un ensemble cohérent plutôt neutre et serein.
L'ensemble offre donc maintenant une écoute apaisée, facile et placée.
Une grande netteté tout en restant fin et soyeux en haut. De beaux timbres et des mediums riches, les Heco s'en sortent toujours bien en bas.
Les graves me semblent moins mis en avant. J'ai l'impression d'une plus grande cohérence/linéarité entre les différents registres.
Je remarque après quelques soirs que je monte progressivement le volume...
Petit CR du dac Gustard X16:
Ca faisait un moment que je voulais changer mon dac Aune x1s, lequel me semblait bouchonner mon système et apportait quelques duretés.
J'ai donc choisi le nouveau Gustard X16, premier dac intégrant 2 puces ES9068AS, un contrôleur USB XMOS XU216, des horloges Accusilicon et CPLD Altera MAX II
sur des critères de
- budget : moins cher que le nouveau D70s
- Excellentes mesures : entre le dac okto 8 et le mola mola : de base, je n'y prête pas spécialement d'importance mais pour le prix, je suis curieux

- Lectures positives
Bon c'est cool tout ça, mais il faut écouter et, si ça se trouve, ça sonne comme une casserole.
Aspect:
Sorti de boite, il fait plutôt costaud sauf peut-être le bouton de volume un peu plastoc (lequel ne me servira pas, et au pire, y a une telec, donc m'en fous un peu)
Je le branche rapidement, l'allume. Un petit écran permet de régler :
- 3 filtres
- NOS on/off
- niveau de luminosité, arrêt auto de l'écran, etc.
Assez simple.
Ecoute:
Branchement en usb et roule...
J'ai passé quelques albums en revue, un peu tous les styles/qualités, du bien dégueu au dsd clinique.
A la première impression, mon écoute est un peu chamboulée.
Premier constat, la définition :
Le couple dp3/X16 fonctionne fort:
J'avais un peu peur en reprenant une puce sabre: L'Aune avait tendance à ferrailler un peu en haut, à métalliser un peu les aigus.
Je pensais au départ que seul l'atoll était responsable mais non, le dac apportait sa dose aussi, d'où mon envie de le remplacer.
C'est fini, c'est silencieux et net dans les aigus. Ca ne gratte plus du tout, bon point.
Entre l'atoll qui a été viré au profit du LM, le nuc au profit du dp3, et la disparition de l'Aune,
finies les petites duretés dispersées par les uns et les autres sur mon système.
Tranquillité totale.
C'est silencieux, précis, extrêmement détaillé mais pas froid. Les timbres sont vraiment beaux et riches.
En gros, j'ai l'impression qu'il n'est pas là

Mais en fait si, il est bien là: car ce qu'il me montre, lui, au delà de la netteté/précision, c'est la scène:
Deuxième constat : La scène éclate, beaucoup plus riche qu'avec l'Aune qui me faisait plus une immersion un peu fouilli et frontale.
Là, c'est placé, extrêmement détaillé, on visualise vraiment bien les instruments, autant en profondeur qu'en largeur.
C'est vraiment le maillon qui manquait dans tout ça.
Bref, Le quatuor dp3, X16, LM , Heco s'entend joliment et donne un ensemble cohérent plutôt neutre et serein.
L'ensemble offre donc maintenant une écoute apaisée, facile et placée.
Une grande netteté tout en restant fin et soyeux en haut. De beaux timbres et des mediums riches, les Heco s'en sortent toujours bien en bas.
Les graves me semblent moins mis en avant. J'ai l'impression d'une plus grande cohérence/linéarité entre les différents registres.
Je remarque après quelques soirs que je monte progressivement le volume...