01-28-2016, 08:23 PM
J’ai utilisé ou essayé le 1510 dans mon système de salon, sur le H.C. et sur mes pavillons. Je n’ai jamais eu de problème d’adaptation avec cet ampli sur le plan de l’équilibre et de la répartition de la dynamique, quel que soit le niveau d’écoute sur des enceintes entre 95 et 120 db/w de rendement. Les câbles Vecteur version 3 que j’utilise sont très neutres. Ces différents essais font penser que cet ampli est neutre. Mais comme sur tout système un tant soit peu sensible, il suffit d’un câble inadapté pour foutre en l’air le résultat auditif. C’est toujours une question de mise en oeuvre qui permet d’obtenir un équilibre global adéquat. Il est facile d’accuser un appareil de « détimbrer » mais c’est toujours effectivement un jugement qui passe par un système complet qui comprend « forcément » des éléments inadaptés. On est donc bien d’accord là dessus et que cet ampli est difficilement critiquable à son prix.
Maintenant, si on considère d’autres critères de jugement, la définition, la résolution, la quantité de détails, qui donnent de la présence, qui aident à comprendre le jeu de chaque musicien dans un ensemble, qui précisent les échos et réverbérations qui vont construire « l’image sonore », la macro et la micro-dynamique, qui donnent la vie, la vivacité du jeu musical, et la transparence, liée à l’absence de bruit de fond, de distorsion, de jitter, de pollution électro-magnétique, de pollution du secteur, etc…, qui permet de percevoir les plus petits détails des enregistrements, qui donne au son une « pureté » plus perceptible, qui permet « d’oublier » davantage le système et de laisser à la musique une « liberté » toujours plus grande, sur ces critères de jugement donc, les Devialet sont particulièrement performants.
Le Denon PMA 1510 AE est purement analogique. Quand on parle de reproduction musicale aujourd’hui, l’enregistrement qui sert de source est quasiment toujours numérique. J’étais un fana de vinyl il y a quelques années, platine de 100 kg, cellule sélectionnée, préampli sur batteries avec des FARADS de condensateurs,etc… les lecteurs de CD ne donnaient pas encore une musicalité équivalente. Les DACs séparés sont apparus, lisant des fichiers stockés sur disques durs d’ordinateurs. Il y a eu un perfectionnement progressif mais significatif de la qualité de lecture par rapport aux lecteurs CD et SACD. Puis les lecteurs réseau sont apparus et Devialet a sorti son système AIR pour gérer les fichiers sous iTunes. J’ai eu l’occasion d’écouter un PC dédié, débarrassé de tout logiciel superflu, qui marchait très bien chez Lineadjam. Certains lecteurs réseau donnent également des résultats au delà des lecteurs traditionnels, même si je ne peux prétendre connaître tout le haut de gamme, mais quelques spécimens de haute notoriété. Enfin, AIR, surtout en wifi, est ce que j’ai trouvé de mieux sur les critères cités, en comparaison instantanée, même morceau passant en alternance sur deux entrées du Devialet. Pour moi, la lecture de fichier numérique, même en 16 bits à 44,1 kHz, en wave, a atteint une forme de perfection, magique sur de bons enregistrements. Cela ne change rien au fait qu’il faut savoir faire une mise en oeuvre qui permette d’obtenir un bon équilibre global et des timbres satisfaisants. Donc, cet aspect de traitement numérique est difficile à rattraper avec les systèmes comprenant des sources à lecture instantanée et passant en analogique avant l’ampli. D’où l’un des facteurs de différence de définition et de transparence, mais le mode d’amplification des Devialet avec son facteur d’amortissement énorme et son signal/bruit contribuent aussi à une différence.
J’explique mes constats. Je suis assez motivé et bosseur pour acquérir ce qui me semble aller le plus loin dans le plaisir musical, mais je respecte d’autres approches et d’autres goûts musicaux.
Maintenant, si on considère d’autres critères de jugement, la définition, la résolution, la quantité de détails, qui donnent de la présence, qui aident à comprendre le jeu de chaque musicien dans un ensemble, qui précisent les échos et réverbérations qui vont construire « l’image sonore », la macro et la micro-dynamique, qui donnent la vie, la vivacité du jeu musical, et la transparence, liée à l’absence de bruit de fond, de distorsion, de jitter, de pollution électro-magnétique, de pollution du secteur, etc…, qui permet de percevoir les plus petits détails des enregistrements, qui donne au son une « pureté » plus perceptible, qui permet « d’oublier » davantage le système et de laisser à la musique une « liberté » toujours plus grande, sur ces critères de jugement donc, les Devialet sont particulièrement performants.
Le Denon PMA 1510 AE est purement analogique. Quand on parle de reproduction musicale aujourd’hui, l’enregistrement qui sert de source est quasiment toujours numérique. J’étais un fana de vinyl il y a quelques années, platine de 100 kg, cellule sélectionnée, préampli sur batteries avec des FARADS de condensateurs,etc… les lecteurs de CD ne donnaient pas encore une musicalité équivalente. Les DACs séparés sont apparus, lisant des fichiers stockés sur disques durs d’ordinateurs. Il y a eu un perfectionnement progressif mais significatif de la qualité de lecture par rapport aux lecteurs CD et SACD. Puis les lecteurs réseau sont apparus et Devialet a sorti son système AIR pour gérer les fichiers sous iTunes. J’ai eu l’occasion d’écouter un PC dédié, débarrassé de tout logiciel superflu, qui marchait très bien chez Lineadjam. Certains lecteurs réseau donnent également des résultats au delà des lecteurs traditionnels, même si je ne peux prétendre connaître tout le haut de gamme, mais quelques spécimens de haute notoriété. Enfin, AIR, surtout en wifi, est ce que j’ai trouvé de mieux sur les critères cités, en comparaison instantanée, même morceau passant en alternance sur deux entrées du Devialet. Pour moi, la lecture de fichier numérique, même en 16 bits à 44,1 kHz, en wave, a atteint une forme de perfection, magique sur de bons enregistrements. Cela ne change rien au fait qu’il faut savoir faire une mise en oeuvre qui permette d’obtenir un bon équilibre global et des timbres satisfaisants. Donc, cet aspect de traitement numérique est difficile à rattraper avec les systèmes comprenant des sources à lecture instantanée et passant en analogique avant l’ampli. D’où l’un des facteurs de différence de définition et de transparence, mais le mode d’amplification des Devialet avec son facteur d’amortissement énorme et son signal/bruit contribuent aussi à une différence.
J’explique mes constats. Je suis assez motivé et bosseur pour acquérir ce qui me semble aller le plus loin dans le plaisir musical, mais je respecte d’autres approches et d’autres goûts musicaux.