On est en train de polluer le fil de notre ami Bear, qui vient d'investir dans de superbes enceintes, dont devraient s'inspirer bien des concepteurs d'enceintes. Avoir une directivité horizontale et verticale aussi maitrisée n'est pas courant, ni le fait du hasard mais bien d'une réflexion approfondie sur ce qui compte vraiment à l'écoute.
Peut-être qu'une lecture attentive du bouquin de Floyd Toole (https://www.amazon.fr/dp/113892136X/ref=...21_TE_item) permettrait de clarifier le sujet sans polémique ou guerre de religion.
On peut croire aux théories développées par Eddy Lux sur le résultat miraculeux obtenu avec ses enceintes (2 voies closes, filtre à 6dB/octave, collées contre le mur), que les autres concepteurs ne pourraient pas reproduire industriellement (d'où l'abandon de ces idées de génie), ou suivre ceux qui ont étudié le sujet rationnellement et en ont tiré des conclusions pratiques concrètes.
Personnellement, je ne suis pas étonné que les meilleures enceintes actuelles suivent les conclusions des études de Toole. Il suffit d'écouter des Vivid Audio, des Revel, des Kii, et quelques autres, dans une pièce traitée correctement d'un point de vue acoustique pour arrêter de se poser des questions.
Beaucoup d'enceintes produisent de la musique fort heureusement, mais aucune, aussi sophistiquée que soit sa conception, ne peut s'affranchir de la pièce d'écoute. Je vous engage à lire cet article (http://www.acouphile.fr/ecoutereverb.html) qui explique de façon simple comment le RT60 d'une pièce va impacter temporellement la musique.
La seule conclusion rationnelle qu'on puisse tirer de tout cela, c'est qu'il faut travailler tous les aspects de la reproduction sonore pour permettre à la musique de s'exprimer. Cela inclut la pièce (dont le RT60 est un premier indicateur clé), les enceintes (dont la conception ne doit pas oublier d'inclure les caractéristiques de directivité), et les diverses électroniques que va traverser le signal numérique et analogique. Chacun donnera l'importance qu'il souhaite à chaque partie de cette équation, mais personnellement, ça ne surprendra personne, je pense que la pièce et les enceintes représentent l'essentiel du problème à résoudre, et que le reste, même s'il est important, reste du 2ème ordre.
Peut-être qu'une lecture attentive du bouquin de Floyd Toole (https://www.amazon.fr/dp/113892136X/ref=...21_TE_item) permettrait de clarifier le sujet sans polémique ou guerre de religion.
On peut croire aux théories développées par Eddy Lux sur le résultat miraculeux obtenu avec ses enceintes (2 voies closes, filtre à 6dB/octave, collées contre le mur), que les autres concepteurs ne pourraient pas reproduire industriellement (d'où l'abandon de ces idées de génie), ou suivre ceux qui ont étudié le sujet rationnellement et en ont tiré des conclusions pratiques concrètes.
Personnellement, je ne suis pas étonné que les meilleures enceintes actuelles suivent les conclusions des études de Toole. Il suffit d'écouter des Vivid Audio, des Revel, des Kii, et quelques autres, dans une pièce traitée correctement d'un point de vue acoustique pour arrêter de se poser des questions.
Beaucoup d'enceintes produisent de la musique fort heureusement, mais aucune, aussi sophistiquée que soit sa conception, ne peut s'affranchir de la pièce d'écoute. Je vous engage à lire cet article (http://www.acouphile.fr/ecoutereverb.html) qui explique de façon simple comment le RT60 d'une pièce va impacter temporellement la musique.
La seule conclusion rationnelle qu'on puisse tirer de tout cela, c'est qu'il faut travailler tous les aspects de la reproduction sonore pour permettre à la musique de s'exprimer. Cela inclut la pièce (dont le RT60 est un premier indicateur clé), les enceintes (dont la conception ne doit pas oublier d'inclure les caractéristiques de directivité), et les diverses électroniques que va traverser le signal numérique et analogique. Chacun donnera l'importance qu'il souhaite à chaque partie de cette équation, mais personnellement, ça ne surprendra personne, je pense que la pièce et les enceintes représentent l'essentiel du problème à résoudre, et que le reste, même s'il est important, reste du 2ème ordre.