Je ne crois pas en avoir parlé sur ce forum mais il y a un groupe trop éphémère ( 2 albums
seulement ) que j'adore.
Il s'agit des New-Yorkais de Codéine, groupe formé en 1989 et qui se sépara dès 1994.
Vibrant d'intensité et débordant d'une passion sombre, le premier album de Codeine "Frigid Stars" s'impose comme un chef-d'œuvre incontournable !
![[Image: ADCreHda5ObjTMUZUkbDiAyv0ikZ6tXQUxcuM11A...authuser=0]](https://lh3.googleusercontent.com/pw/ADCreHda5ObjTMUZUkbDiAyv0ikZ6tXQUxcuM11Az47PyoqGovXTJkqkIhoGtdB2yMIvwSxQTb0L3ysFuFqg9cbvSK_6YLoM8fH84Y_g5XZxagszzKPU-7sGXIF1HPIdarU_E_fAFgOA29bm2Kmix10Q67POpA=w500-h500-s-no?authuser=0)
C'est une rage puissante qui nous submerge avec une force intérieure, maîtrisée, qui laisse une empreinte indélébile. On ressent cette tension palpable, des percussions martèlent avec insistance, les guitares tranchent avec précision, évoquant une tempête qui gronde sans se déchaîner. Et c'est là toute la magie de cet album: il nous tient en haleine, nous accrochant à chaque note. La voix profonde de Stephen Immerwah résonne avec une beauté glacée. Les mélodies sont délicates, presque éthérées, mais rapidement dominées par une rythmique implacable qui leur donne une présence oppressante. Progressivement sur cet album, musique de Codeine devient de plus en plus dure, mais le chant reste inébranlable, tissant une atmosphère de malaise insaisissable, évoquant un monde désolé...
Je vous conseille le coffret réédité en 2012 : Discogs
mais hélas les prix se sont en peu envolés.

Il s'agit des New-Yorkais de Codéine, groupe formé en 1989 et qui se sépara dès 1994.
Vibrant d'intensité et débordant d'une passion sombre, le premier album de Codeine "Frigid Stars" s'impose comme un chef-d'œuvre incontournable !
C'est une rage puissante qui nous submerge avec une force intérieure, maîtrisée, qui laisse une empreinte indélébile. On ressent cette tension palpable, des percussions martèlent avec insistance, les guitares tranchent avec précision, évoquant une tempête qui gronde sans se déchaîner. Et c'est là toute la magie de cet album: il nous tient en haleine, nous accrochant à chaque note. La voix profonde de Stephen Immerwah résonne avec une beauté glacée. Les mélodies sont délicates, presque éthérées, mais rapidement dominées par une rythmique implacable qui leur donne une présence oppressante. Progressivement sur cet album, musique de Codeine devient de plus en plus dure, mais le chant reste inébranlable, tissant une atmosphère de malaise insaisissable, évoquant un monde désolé...
Je vous conseille le coffret réédité en 2012 : Discogs
mais hélas les prix se sont en peu envolés.
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