Salut tout le monde
Cellindo: inutile de t’excuser!!!
Je comprends très très bien qu’on « doive » écouter à bas volume, enfants au lit, voisins…
Mais voici la façon dont nos oreilles/cerveau perçoivent le spectre audio, même sensation de niveau:
![[Image: Courbes-isosoniques.JPG]](https://www.hearingprotech.com/images/stories/bruit/Courbes-isosoniques.JPG)
C’est même une norme, ISO226.
Et je laisse de côté le réflexe stapédien (physiologique) qui, par protection, va atténuer les fréquences en dessous de 2 kHz: à partir d’un certain seuil, une augmentation de 10 dB ne va conduire qu’à une perception de +3dB.
Le loudness présent sur mon premier ampli des années 70 servait à remonter le niveau de basses à bas volume pour commencer la perception humaine du spectre. Certains comme Alfachris le font numériquement et je pense qu’ils ont raison.
Tout ça mis bout à bout conduit à un mix-mastering qui ne peut être équilibré qu’autour d’un certain niveau d’écoute. Il n’y a pas besoin d’oreilles de 18 ans pour sentir/pifometrer ce niveau.
Personne ne va pousser le niveau d’un quatuor à cordes ou un trio de Jazz au delà d’un certain seuil.
Si je pousse le volume sur Queen ou AC/DC, c’est pour d’autres raisons et l’équilibre spectral je m’en fous dans ce cas!!
À bas volume, je pense qu’il n’y a pas de différences objectives entre les enceintes du moment qu’elles sont linéaires et ont la même plage de réponse en fréquence. Mais il suffit qu’il y ait un tout petit peu de boost grave (enceintes et/ou pièce) pour que l’écoute à bas niveau paraisse « meilleure » Autrement dit, un petit défaut qui améliore l’écoute à bas volume.
Entre la non linéarité de nos oreilles/cerveau suivant le niveau joué, l’équalisation due à la pièce, l’équalisation due au réflexe stapédien, il me semble très délicat de mettre en avant le critère « écoute à bas niveau ».
Amicalement
Cellindo: inutile de t’excuser!!!
Je comprends très très bien qu’on « doive » écouter à bas volume, enfants au lit, voisins…
Mais voici la façon dont nos oreilles/cerveau perçoivent le spectre audio, même sensation de niveau:
C’est même une norme, ISO226.
Et je laisse de côté le réflexe stapédien (physiologique) qui, par protection, va atténuer les fréquences en dessous de 2 kHz: à partir d’un certain seuil, une augmentation de 10 dB ne va conduire qu’à une perception de +3dB.
Le loudness présent sur mon premier ampli des années 70 servait à remonter le niveau de basses à bas volume pour commencer la perception humaine du spectre. Certains comme Alfachris le font numériquement et je pense qu’ils ont raison.
Tout ça mis bout à bout conduit à un mix-mastering qui ne peut être équilibré qu’autour d’un certain niveau d’écoute. Il n’y a pas besoin d’oreilles de 18 ans pour sentir/pifometrer ce niveau.
Personne ne va pousser le niveau d’un quatuor à cordes ou un trio de Jazz au delà d’un certain seuil.
Si je pousse le volume sur Queen ou AC/DC, c’est pour d’autres raisons et l’équilibre spectral je m’en fous dans ce cas!!
À bas volume, je pense qu’il n’y a pas de différences objectives entre les enceintes du moment qu’elles sont linéaires et ont la même plage de réponse en fréquence. Mais il suffit qu’il y ait un tout petit peu de boost grave (enceintes et/ou pièce) pour que l’écoute à bas niveau paraisse « meilleure » Autrement dit, un petit défaut qui améliore l’écoute à bas volume.
Entre la non linéarité de nos oreilles/cerveau suivant le niveau joué, l’équalisation due à la pièce, l’équalisation due au réflexe stapédien, il me semble très délicat de mettre en avant le critère « écoute à bas niveau ».
Amicalement