02-25-2024, 06:32 PM
(Modification du message : 02-25-2024, 06:34 PM par AudioPhilo Dodo.)
Après quelques jours passés en compagnie du CS Hemingway Indigo, j'ai pu faire des écoutes comparatives sur mes morceaux repères qui brassent des caractéristiques très variées.
Câbles comparés :
- Gigawatt LC3 Evo (même budget)
- Norodst Red dawn (le câble qui pardonne bcp, pas de masque sur le bas médium, dégraissé avec du poids quand même, manque de détails), moins cher
- supra Lorad (pas si mal, pardonne aussi beaucoup, comme le red dawn, en simplifiant le message, plus de presence sur les voix sans projection), pas cher - super RQP
- JPS Labs Kaptovator : un câble référence produit depuis + de 20 ans ; ~1,5 fois le budget (avant x inflationsss !!) très qualitatif, du poids des beaux timbres, une homogénéité, de la matière - épaisseur... je l'aime bcp !
L’Indigo décortique bcp plus le message (un peu à la manière d’un gros classe A accuphase E800 vs un Mc Intosch MA12000 passe-partout où un enregistrement torturé passera mieux, j'en parle car j'ai fait une écoute de ces deux amplis récemment).
Les + de l’Indigo : dynamique +++, détails sur fond noir, et donc réverb et profondeur accrues, scène large, hyper épanouie. Lumineux mais naturel avec ce fond bien noir. Rythme et rebond fulgurants : sur les passages chargés, il se régale, il accélère encore plus : une espèce de paradoxe !
Alors globalement il y a bcp de moments très jouissifs et parfois, je trouvais qu'il en faisait presque trop - en tout cas dans mon système et ma pièce avec son RT et résonances propres ;((. Donc quelques toniques dans le grave et certaines acidités venues de je ne sais où selon les morceaux mais qu'on gomme en soignant tout ce qu’il y a autour. Dans l'immédiat je résous cela avec quelques panneaux acoustiques (mais mon salon doit rester un salon
) et le précieux égaliseur de L'auralic Aries G1 qui gomme certaines pointes ou débordements jusqu'au 1/100ème de db sans dégradation du signal ; très très utile !
A un moment, j'ai pensé renoncer à l'Indigo. Il me rappelait l'effet Whaou que j'avais eu à la découverte d'un Gigawatt LC3mk3+ : dynamique, rapide, mais avec les défauts qui vont avec càd un medium un peu fatigant à la longue (ce qui n'est pas le cas du LC3EVO par exemple).
L'indigo combine vraiment toutes les qualités sur le DAC Teac.
En effet, je l'ai essayé sur le streamer, le DAC, le préamplificateur. Et ce n’est vraiment que sur le dac TEAC qu’il a sa place chez moi. Sur les autres maillons, c’est plus tendu, un peu vif en médiums, beaucoup moins d’épaisseur (la patte "LC3 mk3+") ; je ne peux l’expliquer que par l’interdépendance avec les autres câbles autour : gigawatt LC3 évo (streamer) et JPS Labs Kaptovator sur preampli (le plus polyvalent chez moi : il va tout aussi bien sur le bloc ou la murale).
Au final, dans cette configuration, l'indigo ouvre une autre dimension, tire la quitessence de tout le système pourtant il n'est que sur un petit bout du signal... Impressionnant. Du grand bonheur !
Câbles comparés :
- Gigawatt LC3 Evo (même budget)
- Norodst Red dawn (le câble qui pardonne bcp, pas de masque sur le bas médium, dégraissé avec du poids quand même, manque de détails), moins cher
- supra Lorad (pas si mal, pardonne aussi beaucoup, comme le red dawn, en simplifiant le message, plus de presence sur les voix sans projection), pas cher - super RQP
- JPS Labs Kaptovator : un câble référence produit depuis + de 20 ans ; ~1,5 fois le budget (avant x inflationsss !!) très qualitatif, du poids des beaux timbres, une homogénéité, de la matière - épaisseur... je l'aime bcp !
L’Indigo décortique bcp plus le message (un peu à la manière d’un gros classe A accuphase E800 vs un Mc Intosch MA12000 passe-partout où un enregistrement torturé passera mieux, j'en parle car j'ai fait une écoute de ces deux amplis récemment).
Les + de l’Indigo : dynamique +++, détails sur fond noir, et donc réverb et profondeur accrues, scène large, hyper épanouie. Lumineux mais naturel avec ce fond bien noir. Rythme et rebond fulgurants : sur les passages chargés, il se régale, il accélère encore plus : une espèce de paradoxe !
Alors globalement il y a bcp de moments très jouissifs et parfois, je trouvais qu'il en faisait presque trop - en tout cas dans mon système et ma pièce avec son RT et résonances propres ;((. Donc quelques toniques dans le grave et certaines acidités venues de je ne sais où selon les morceaux mais qu'on gomme en soignant tout ce qu’il y a autour. Dans l'immédiat je résous cela avec quelques panneaux acoustiques (mais mon salon doit rester un salon

A un moment, j'ai pensé renoncer à l'Indigo. Il me rappelait l'effet Whaou que j'avais eu à la découverte d'un Gigawatt LC3mk3+ : dynamique, rapide, mais avec les défauts qui vont avec càd un medium un peu fatigant à la longue (ce qui n'est pas le cas du LC3EVO par exemple).
L'indigo combine vraiment toutes les qualités sur le DAC Teac.
En effet, je l'ai essayé sur le streamer, le DAC, le préamplificateur. Et ce n’est vraiment que sur le dac TEAC qu’il a sa place chez moi. Sur les autres maillons, c’est plus tendu, un peu vif en médiums, beaucoup moins d’épaisseur (la patte "LC3 mk3+") ; je ne peux l’expliquer que par l’interdépendance avec les autres câbles autour : gigawatt LC3 évo (streamer) et JPS Labs Kaptovator sur preampli (le plus polyvalent chez moi : il va tout aussi bien sur le bloc ou la murale).
Au final, dans cette configuration, l'indigo ouvre une autre dimension, tire la quitessence de tout le système pourtant il n'est que sur un petit bout du signal... Impressionnant. Du grand bonheur !