C'est un positionnement des enceintes qui minimise l'influence de la pièce.
Après, certaines enceintes comme les Harbeth Shl5+ s'accomodent plutôt bien d'être placées près du mur arrière.
Il y a un autre positionnement qui joue aussi énormément, c'est le point d'écoute qui devrait être assez éloigné du mur du fond de salle.
Donc, si on repousse dans les deux sens de la longueur, on se retrouve dans les petites salles, à écouter un casque géant !
On comprend mieux alors les limites de positionnement imposés par la pièce d'écoute, et je ne parle pas des réflexions latérales qui viennent allègrement mélanger champ direct et diffus.
La méthode Cardas, avec un positionnement très proche des enceintes, et un pincement accentué des enceintes peut améliorer les choses, mais encore une fois, il faut accepter ce genre d'écoute, personnellement je n'aime pas.
Donc au final, et à moins de bénéficier d'une grande pièce dédiée et traitée, il faut accepter les limites de chacune de nos pièces, adapter son niveau d'écoute et éviter de se focaliser sur les défauts pour réussir à laisser notre cerveau, dont la capacité d'adaptation est insoupçonnée, prendre du plaisir lors d'une écoute.
Et, comme la majorité d'entre nous ne connaît pas ce qu'elle manque, il est parfois heureux d'être ignorant.
Ps: ma réponse s'est croisée avec celle de Philippe, et n'est donc pas liée à son intervention, même si elle peut être complémentaire sur bien des points.
Après, certaines enceintes comme les Harbeth Shl5+ s'accomodent plutôt bien d'être placées près du mur arrière.
Il y a un autre positionnement qui joue aussi énormément, c'est le point d'écoute qui devrait être assez éloigné du mur du fond de salle.
Donc, si on repousse dans les deux sens de la longueur, on se retrouve dans les petites salles, à écouter un casque géant !
On comprend mieux alors les limites de positionnement imposés par la pièce d'écoute, et je ne parle pas des réflexions latérales qui viennent allègrement mélanger champ direct et diffus.
La méthode Cardas, avec un positionnement très proche des enceintes, et un pincement accentué des enceintes peut améliorer les choses, mais encore une fois, il faut accepter ce genre d'écoute, personnellement je n'aime pas.
Donc au final, et à moins de bénéficier d'une grande pièce dédiée et traitée, il faut accepter les limites de chacune de nos pièces, adapter son niveau d'écoute et éviter de se focaliser sur les défauts pour réussir à laisser notre cerveau, dont la capacité d'adaptation est insoupçonnée, prendre du plaisir lors d'une écoute.
Et, comme la majorité d'entre nous ne connaît pas ce qu'elle manque, il est parfois heureux d'être ignorant.
Ps: ma réponse s'est croisée avec celle de Philippe, et n'est donc pas liée à son intervention, même si elle peut être complémentaire sur bien des points.