Bonjour,
Petit retour sur l’upgrade des L5C en EX.
D’abord techniquement, de ce que j’ai compris l’upgrade consiste à mieux coupler/découpler l’enceinte du sol avec un nouveau socle, un nouveau filtre avec la connexion de l’alimentation des HP à excitation, une retouche de la rigidité sur quelques points stratégiques étant donné que l’énergie va être diffusée différemment dans l’enceinte et bien sûr le replacement du HP EMS LB8 par un HP LB8EX à excitation modifié par Emmanuel Boutry.
Enfin, la fourniture de l’alimentation des HP avec son câble secteur spécifique, fabriqué par EBM.
Bon j’ai peut être oublié des choses…
Alors qu’est ce que ça change à l’écoute ? On n’est pas dépaysé mais en réalité cela change beaucoup de choses.
Lorsque j’ai écouté les L5C pour la première fois chez mon pote Cayu, j’avais à l’époque 2 paires d’enceintes, les Harbeth SHL5+ et les Dali Epicon 8.
Si je n’ai jamais réussi faire fonctionner correctement les Danoises, j’aimais beaucoup les anglaises qui avaient vraiment les qualités qui lui sont reconnues. Pour avoir testé d’autres enceintes chez moi, les Harbeth sortaient toujours la tête haute avec sa neutralité et sa justesse exemplaire.
À l’écoute des L5C j’ai tout de suite été interpellé par ce côté holographique et organique que je n’avais jamais entendu auparavant. À cet instant précis, je me suis dit «ça doit être ça la vraie haute fidélité ! ». Il y avait clairement un truc en plus en terme de communication.
Une EBM ne s’écoute pas en cochant des cases, en décortiquant des plages de fréquences ou en jubilant avec des impacts au plexus mais plutôt en se laissant porter par la musique sans le moindre effort intellectuel.
Il faut bien comprendre une chose, c’est que construire une 3ème dimension d’un tel niveau rend la tâche plus difficile sur la mise en œuvre, on ne se contente pas de créer une image, on crée une scène !
On peut ainsi comprendre pourquoi les amplis à tubes sont les bienvenus avec les enceintes EBM, parce qu’ils sont dans la même philosophie de cette 3ème dimension.
La L5C premier modèle de la gamme que j’ai donc gardé 2 ou 3 ans permet déjà de toucher à tout cela à condition d’avoir des électroniques triés sur le volet, de l’espace autour des enceintes et une acoustique bien soignée.
En toute honnêteté, je pense qu’il s’agit d’une enceinte avec un potentiel énorme qui n’a rien à voir avec son prix et le risque est d’avoir un décalage avec les moyens mis en œuvre pour l’exploiter. En 2 mots, elle est très exigeante.
Les EX facilitent tout. Les HP à excitation épaulés par leur alimentation nous affranchissent d’un système d’amplification survitaminé type blocs monos. Un petit ampli musical semble faire l’affaire. Mon preampli hybride « Audiophile Technologie Théorème » et son ampli de puissance « Amplitude » PP de 24W à base de 8 tubes type EL84 font totalement disparaître les enceintes et la pièce. Bon pas de miracle non plus, il faut quand même toujours un minimum d’espace pour qu’elles s’expriment. Au salon Sud Hi-fi Show par exemple, je ne les ai pas reconnu et c’est normal puisque le point fort de ces enceintes est la scène, et on ne peut pas reconstituer une scène dans 12m2.
La L5EX surpasse sa petite sœur en tous points. Définition, construction de scène, fluidité, qualité de timbres, modulation, inflexion, réalisme.
Les instruments acoustiques les plus difficiles à reproduire déjà très beaux sur la L5C gagnent partout.
Voici donc quelques descriptions de quelques morceaux que j’affectionne :
Depardieu chante Barbara Live (version CD).
Le piano est bien ancré au sol et on sent le poids de chaque touche de la table tout en pouvant suivre au cordeau le déplacement des mains de Gérard Daguerre. Beaucoup de détails habituellement tronqués se dévoilent, le sentiment d’être dans la salle est palpable et le public très bien localisé avec ses rires, ses sifflets et ses cris. On n’est pas au niveau de la L5XL mais c’est très supérieur à la L5C. Les applaudissements à la fin de chaque morceau sont beaucoup plus crédibles et donnent envie d’applaudir.
Comme dit un ami audiophile qui connaît bien mes systèmes depuis 6 ans et qui est passé en curieux, la voix de Depardieu est perturbante de réalisme et la musique semble s’écouler au ralenti.
Nous nous faisions tous les deux la remarque que nous avions l’impression d’écouter un enregistrement que nous ne connaissions pas.
La sonate « Le printemps » de Beethoven (version vinyle).
Le violon et le piano sont bien étagés, visibles sur 2 plans différents avec de l’air qui les sépare. Le violon, instrument très difficile à reproduire, n’ai pas filiforme et incisif comme souvent mais se matérialise. Le crin de l’archet est très audible. Le piano est encore ancré au sol au point qu’on a l’impression que le son descend plus bas que le plancher. Tout coule en toute délicatesse et fluidité, le lâcher prise est tel que je serai capable de m’endormir comme avec le massage de tête que me fait ma coiffeuse.
Noir Désir, Des Armes (vinyle et CD)
Je pensais connaître ce morceau par cœur pour l’avoir écouté mainte fois chez moi et ailleurs. C’est le style de morceau qui sonne bien partout. Ici j’ai découvert de nouveaux étagements de plans avec une profondeur et une stabilité étonnante. La voix est figée entre les enceintes ni trop proche ni trop loin et la musique foisonne tout autour avec un fond de scène étonnamment très éloigné par rapport d’habitude et figé comme un immense tableau noir. L’effet bulle est très prononcé, j’entends plus de choses et les notes semblent durer plus longtemps que d’habitude. Envoûtant !
La belle Hélène, d’Offenbach, Marc Minkovsky (version CD).
J’adore cet opéra bien que très cucul la praline.
Là c’est simple, l’enregistrement est de telle qualité qu’on est au spectacle. Point.
La 3eme de Mahler, dirigée par James Lévine à Boston (version vinyle).
On parle souvent de la qualité des silences. Ici, je trouve que ça va encore plus loin car les silences sont habités par des micro-informations qui lient les sons les uns aux autres de façon continue. Comme dans la vraie vie en somme. C’est une chose que je n’ai jamais remarqué sur mes précédentes enceintes y compris la L5C. Néanmoins, sur ce point, les L5XL sont encore plus impressionnantes.
Unplugged de Clapton (version CD, original)
La qualité d’enregistrement est exceptionnelle, comme je les aime. Pas de micro foutu à 1cm des cordes d’une guitare, pas de tête de 2m de diamètre pour impressionner la galerie, une vrai scène, on assiste au spectacle, tout simplement.
La sensation d’air est bien supérieure aux L5C. Encore une fois la scène est d’une profondeur exemplaire avec tous les étagements bien matérialisés.
Attention car cet enregistrement est aussi bon que casse gueule. J’ai tout entendu avec cet album, les applaudissements qui ressemblent à une pluie battante, Clapton trop loin avec une pince à linge sur le nez, Clapton avec une tête d’un mètre qui nous gueule dessus, une guitare qui ressemble à un banjo, le pieds de Clapton qui fait des claquettes ou à l’inverse qui joue sur une estrade tambour.
Personnellement je suis passé par toutes ces étapes avec les L5C qui, encore une fois, ne pardonnent pas une mise en œuvre approximative. Les EX nous simplifient considérablement la tâche et nous amènent directement sur le plateau MTV sans le moindre doute de la manière dont la scène est structurée.
Tiens, j’en profite par faire un petit aparté.
Des échanges ont fusé sur le forum sur le fait qu’on ne sait jamais comment un morceau doit réellement sonner parce qu’on ne sait pas vraiment ce que l’ingé. son à fait ou voulu faire.
Bah franchement avec les L5EX on ne se pose pas ce type de question, tellement le scène est toujours construite de façon crédible.
Sur toutes les voix écoutées, la 3ème dimension est bien là. Si je fais une analogie avec la photo, je n’ai pas cette sensation de « piqué » comme sur les installations Hi-fi les plus impressionnantes que j’ai pu écouter, c’est autre chose. On ne se contente pas de « voir » un visage en HD, ici on le matérialise. Certains n’y trouveront peut être pas leur compte parce que nous ne sommes pas dans l’hyper définition habituelle, c’est plus charnel et naturel à mon goût. Du coup, on détecte plus les nuances et les inflexions de voix que la bave collée aux lèvres de l’interprète.
C’est un peu comme comparer une photo prise par le dernier IPhone hyper défini et un appareil argentique plein format.
En conclusion, je trouve que l’upgrade de L5C vers les EX permet un bon qualitatif très important.
Honnêtement. je pense même qu’il est de fausses économies d’acheter des L5C plutôt que des EX car encore une fois, elles facilitent tout. À terme je suis sûr que la dépense autour des EX est moindre pour atteindre un niveau supérieur. Mais évidemment on fait ce qu’on peut avec ses moyens.
Quoi qu’il en soit, pouvoir passer d’une L5C à une EX puis éventuellement aux XL sans changer d’enceintes est quand même génial.
Aujourd’hui plus que jamais je pense que les L5EX sont ce que j’attends de la haute fidélité.
De tout ce que j’ai entendu, toute gamme et tout budget confondu, elles ont ma préférence.
Je me sens sincèrement libéré du poids d’obtenir le système ultime et je vais pouvoir enfin me consacrer à élaborer la discothèque de mes rêves.
Petit retour sur l’upgrade des L5C en EX.
D’abord techniquement, de ce que j’ai compris l’upgrade consiste à mieux coupler/découpler l’enceinte du sol avec un nouveau socle, un nouveau filtre avec la connexion de l’alimentation des HP à excitation, une retouche de la rigidité sur quelques points stratégiques étant donné que l’énergie va être diffusée différemment dans l’enceinte et bien sûr le replacement du HP EMS LB8 par un HP LB8EX à excitation modifié par Emmanuel Boutry.
Enfin, la fourniture de l’alimentation des HP avec son câble secteur spécifique, fabriqué par EBM.
Bon j’ai peut être oublié des choses…
Alors qu’est ce que ça change à l’écoute ? On n’est pas dépaysé mais en réalité cela change beaucoup de choses.
Lorsque j’ai écouté les L5C pour la première fois chez mon pote Cayu, j’avais à l’époque 2 paires d’enceintes, les Harbeth SHL5+ et les Dali Epicon 8.
Si je n’ai jamais réussi faire fonctionner correctement les Danoises, j’aimais beaucoup les anglaises qui avaient vraiment les qualités qui lui sont reconnues. Pour avoir testé d’autres enceintes chez moi, les Harbeth sortaient toujours la tête haute avec sa neutralité et sa justesse exemplaire.
À l’écoute des L5C j’ai tout de suite été interpellé par ce côté holographique et organique que je n’avais jamais entendu auparavant. À cet instant précis, je me suis dit «ça doit être ça la vraie haute fidélité ! ». Il y avait clairement un truc en plus en terme de communication.
Une EBM ne s’écoute pas en cochant des cases, en décortiquant des plages de fréquences ou en jubilant avec des impacts au plexus mais plutôt en se laissant porter par la musique sans le moindre effort intellectuel.
Il faut bien comprendre une chose, c’est que construire une 3ème dimension d’un tel niveau rend la tâche plus difficile sur la mise en œuvre, on ne se contente pas de créer une image, on crée une scène !
On peut ainsi comprendre pourquoi les amplis à tubes sont les bienvenus avec les enceintes EBM, parce qu’ils sont dans la même philosophie de cette 3ème dimension.
La L5C premier modèle de la gamme que j’ai donc gardé 2 ou 3 ans permet déjà de toucher à tout cela à condition d’avoir des électroniques triés sur le volet, de l’espace autour des enceintes et une acoustique bien soignée.
En toute honnêteté, je pense qu’il s’agit d’une enceinte avec un potentiel énorme qui n’a rien à voir avec son prix et le risque est d’avoir un décalage avec les moyens mis en œuvre pour l’exploiter. En 2 mots, elle est très exigeante.
Les EX facilitent tout. Les HP à excitation épaulés par leur alimentation nous affranchissent d’un système d’amplification survitaminé type blocs monos. Un petit ampli musical semble faire l’affaire. Mon preampli hybride « Audiophile Technologie Théorème » et son ampli de puissance « Amplitude » PP de 24W à base de 8 tubes type EL84 font totalement disparaître les enceintes et la pièce. Bon pas de miracle non plus, il faut quand même toujours un minimum d’espace pour qu’elles s’expriment. Au salon Sud Hi-fi Show par exemple, je ne les ai pas reconnu et c’est normal puisque le point fort de ces enceintes est la scène, et on ne peut pas reconstituer une scène dans 12m2.
La L5EX surpasse sa petite sœur en tous points. Définition, construction de scène, fluidité, qualité de timbres, modulation, inflexion, réalisme.
Les instruments acoustiques les plus difficiles à reproduire déjà très beaux sur la L5C gagnent partout.
Voici donc quelques descriptions de quelques morceaux que j’affectionne :
Depardieu chante Barbara Live (version CD).
Le piano est bien ancré au sol et on sent le poids de chaque touche de la table tout en pouvant suivre au cordeau le déplacement des mains de Gérard Daguerre. Beaucoup de détails habituellement tronqués se dévoilent, le sentiment d’être dans la salle est palpable et le public très bien localisé avec ses rires, ses sifflets et ses cris. On n’est pas au niveau de la L5XL mais c’est très supérieur à la L5C. Les applaudissements à la fin de chaque morceau sont beaucoup plus crédibles et donnent envie d’applaudir.
Comme dit un ami audiophile qui connaît bien mes systèmes depuis 6 ans et qui est passé en curieux, la voix de Depardieu est perturbante de réalisme et la musique semble s’écouler au ralenti.
Nous nous faisions tous les deux la remarque que nous avions l’impression d’écouter un enregistrement que nous ne connaissions pas.
La sonate « Le printemps » de Beethoven (version vinyle).
Le violon et le piano sont bien étagés, visibles sur 2 plans différents avec de l’air qui les sépare. Le violon, instrument très difficile à reproduire, n’ai pas filiforme et incisif comme souvent mais se matérialise. Le crin de l’archet est très audible. Le piano est encore ancré au sol au point qu’on a l’impression que le son descend plus bas que le plancher. Tout coule en toute délicatesse et fluidité, le lâcher prise est tel que je serai capable de m’endormir comme avec le massage de tête que me fait ma coiffeuse.
Noir Désir, Des Armes (vinyle et CD)
Je pensais connaître ce morceau par cœur pour l’avoir écouté mainte fois chez moi et ailleurs. C’est le style de morceau qui sonne bien partout. Ici j’ai découvert de nouveaux étagements de plans avec une profondeur et une stabilité étonnante. La voix est figée entre les enceintes ni trop proche ni trop loin et la musique foisonne tout autour avec un fond de scène étonnamment très éloigné par rapport d’habitude et figé comme un immense tableau noir. L’effet bulle est très prononcé, j’entends plus de choses et les notes semblent durer plus longtemps que d’habitude. Envoûtant !
La belle Hélène, d’Offenbach, Marc Minkovsky (version CD).
J’adore cet opéra bien que très cucul la praline.
Là c’est simple, l’enregistrement est de telle qualité qu’on est au spectacle. Point.
La 3eme de Mahler, dirigée par James Lévine à Boston (version vinyle).
On parle souvent de la qualité des silences. Ici, je trouve que ça va encore plus loin car les silences sont habités par des micro-informations qui lient les sons les uns aux autres de façon continue. Comme dans la vraie vie en somme. C’est une chose que je n’ai jamais remarqué sur mes précédentes enceintes y compris la L5C. Néanmoins, sur ce point, les L5XL sont encore plus impressionnantes.
Unplugged de Clapton (version CD, original)
La qualité d’enregistrement est exceptionnelle, comme je les aime. Pas de micro foutu à 1cm des cordes d’une guitare, pas de tête de 2m de diamètre pour impressionner la galerie, une vrai scène, on assiste au spectacle, tout simplement.
La sensation d’air est bien supérieure aux L5C. Encore une fois la scène est d’une profondeur exemplaire avec tous les étagements bien matérialisés.
Attention car cet enregistrement est aussi bon que casse gueule. J’ai tout entendu avec cet album, les applaudissements qui ressemblent à une pluie battante, Clapton trop loin avec une pince à linge sur le nez, Clapton avec une tête d’un mètre qui nous gueule dessus, une guitare qui ressemble à un banjo, le pieds de Clapton qui fait des claquettes ou à l’inverse qui joue sur une estrade tambour.
Personnellement je suis passé par toutes ces étapes avec les L5C qui, encore une fois, ne pardonnent pas une mise en œuvre approximative. Les EX nous simplifient considérablement la tâche et nous amènent directement sur le plateau MTV sans le moindre doute de la manière dont la scène est structurée.
Tiens, j’en profite par faire un petit aparté.
Des échanges ont fusé sur le forum sur le fait qu’on ne sait jamais comment un morceau doit réellement sonner parce qu’on ne sait pas vraiment ce que l’ingé. son à fait ou voulu faire.
Bah franchement avec les L5EX on ne se pose pas ce type de question, tellement le scène est toujours construite de façon crédible.
Sur toutes les voix écoutées, la 3ème dimension est bien là. Si je fais une analogie avec la photo, je n’ai pas cette sensation de « piqué » comme sur les installations Hi-fi les plus impressionnantes que j’ai pu écouter, c’est autre chose. On ne se contente pas de « voir » un visage en HD, ici on le matérialise. Certains n’y trouveront peut être pas leur compte parce que nous ne sommes pas dans l’hyper définition habituelle, c’est plus charnel et naturel à mon goût. Du coup, on détecte plus les nuances et les inflexions de voix que la bave collée aux lèvres de l’interprète.
C’est un peu comme comparer une photo prise par le dernier IPhone hyper défini et un appareil argentique plein format.
En conclusion, je trouve que l’upgrade de L5C vers les EX permet un bon qualitatif très important.
Honnêtement. je pense même qu’il est de fausses économies d’acheter des L5C plutôt que des EX car encore une fois, elles facilitent tout. À terme je suis sûr que la dépense autour des EX est moindre pour atteindre un niveau supérieur. Mais évidemment on fait ce qu’on peut avec ses moyens.
Quoi qu’il en soit, pouvoir passer d’une L5C à une EX puis éventuellement aux XL sans changer d’enceintes est quand même génial.
Aujourd’hui plus que jamais je pense que les L5EX sont ce que j’attends de la haute fidélité.
De tout ce que j’ai entendu, toute gamme et tout budget confondu, elles ont ma préférence.
Je me sens sincèrement libéré du poids d’obtenir le système ultime et je vais pouvoir enfin me consacrer à élaborer la discothèque de mes rêves.
Système 1 : preamp Audiophile Technologie Theoreme 12AU7WA + Amplitude EL84 + EBM L5EX
Système 2 : Kallyste Quasar + Albedo One + Mulidine Allegretto V1
Sources : Marantz SA10, Aurorasound Vida Prima + VPI Scoutmaster II
Mon installation : http://forum-hifi.fr/thread-19470.html
Système 2 : Kallyste Quasar + Albedo One + Mulidine Allegretto V1
Sources : Marantz SA10, Aurorasound Vida Prima + VPI Scoutmaster II
Mon installation : http://forum-hifi.fr/thread-19470.html