01-23-2025, 06:58 PM
(Modification du message : 01-24-2025, 11:14 AM par orfeo_monteverdi.)
Félicitations Elfes, elles sont superbes.
Attention, tu les juges encore "vertes", sorties de la boîte (je t'ai envoyé un message à ce sujet en message privé (MP), mais il semble que tu ne les voit pas immédiatement; tu peux cliquer sur une option en base de la page pour être notifié par email d'un nouveau MP).
Ainsi, par exemple, tu semble leur trouver déjà plein de qualités, mais tu notes une certaine "verdeur" dans l'aigu.
Brahms/Debussy/Bartók: Sonatas/Abel, Steinberg. Wilson Audiophile/Analogue Productions 8722*
LPs with particularly natural, as opposed to hi-fi spectacular sound have been awarded an asterisk (*) [Absolute Sound]
![[Image: h4nAzoH.png]](https://i.imgur.com/h4nAzoH.png)
De plus, dépendant de l'instrument, je trouve même le violon parfois peu amène dans le haut de la tessiture, y compris en live.
Hier encore, pour le concert des 30 ans du fameux quatuor Belcea, à Flagey, au 10ème rang, le haut de la tessiture du del Gesu (instrument que Corina Belcea est en train d'essayer, qui a appartenu à Fritz Kreisler) est décidément plein d'une lumineuse énergie, vraiment. Pas agressif, mais rien, alors absolument rien de sirupeux au 10ème rang.
Le Guarneri del Gesu ‘Leduc, Szeryng’, joué par Augustin Hadelich (entendu dans la super salle d'Anvers), et le Stradivarius qui a appartenu à Nathan Milstein, maintenant joué par Janine Jansen, sont tous deux très différents des autres violons que j'entends habituellement en concert. Tous deux distillent une sonorité d'une ensorcelante beauté, à mourir, et sans la moiiiiiiiiiiindre trace d'acidité.
Donc, pour en revenir à tes hORNS tout juste sorties de leur boîte: passer un violon baroque sur des enceintes à pavillon non-rodées (qui ne projettent pas crient pas, n'agressent pas), d'ici, je dirais que ça devrait gicler du vinaigre...Même sur une Harbeth M30 non-rodée sortie de la boîte, un violon baroque doit sonner cru.
'Pas s'exciter, fais-les jouer généreusement 3 semaines et on en reparlera. Entre-temps, savoure déjà les apparentes premières qualités.
Jean-Marie Reynaud avait un temps édité un disque, paraît-il efficace, spécifiquement conçu pour le rodage des enceintes.
Attention, tu les juges encore "vertes", sorties de la boîte (je t'ai envoyé un message à ce sujet en message privé (MP), mais il semble que tu ne les voit pas immédiatement; tu peux cliquer sur une option en base de la page pour être notifié par email d'un nouveau MP).
Ainsi, par exemple, tu semble leur trouver déjà plein de qualités, mais tu notes une certaine "verdeur" dans l'aigu.
(01-23-2025, 03:51 PM)elfes a écrit : j'ai pas trop apprécié les aigus, moi qui ai l'oreille habituée à la douceur du son "anglais"... C'était sur un violon [baroque !]Lors de l'écoute sur amplificateur à transistors chez le revendeur, sur vinyle Wilson Audiophile, je n'ai nullement été gêné le moins du monde sur le violon. Or, je suis particulièrement "sensible" aux aigus stridents. J'avais donc sorti une sonate pour violon et piano afin d'être fixé le plus rapidement possible. Elles avaient passé ce test haut la main, pas la moindre trace d'astringence. C'était lumineux, varié, bien timbré, avec de la matière (bon, je l'admets, ce disque n'est pas non plus de ceux qu'on garde pour caler une table bancale...)
Brahms/Debussy/Bartók: Sonatas/Abel, Steinberg. Wilson Audiophile/Analogue Productions 8722*
LPs with particularly natural, as opposed to hi-fi spectacular sound have been awarded an asterisk (*) [Absolute Sound]
![[Image: h4nAzoH.png]](https://i.imgur.com/h4nAzoH.png)
De plus, dépendant de l'instrument, je trouve même le violon parfois peu amène dans le haut de la tessiture, y compris en live.
Hier encore, pour le concert des 30 ans du fameux quatuor Belcea, à Flagey, au 10ème rang, le haut de la tessiture du del Gesu (instrument que Corina Belcea est en train d'essayer, qui a appartenu à Fritz Kreisler) est décidément plein d'une lumineuse énergie, vraiment. Pas agressif, mais rien, alors absolument rien de sirupeux au 10ème rang.
Le Guarneri del Gesu ‘Leduc, Szeryng’, joué par Augustin Hadelich (entendu dans la super salle d'Anvers), et le Stradivarius qui a appartenu à Nathan Milstein, maintenant joué par Janine Jansen, sont tous deux très différents des autres violons que j'entends habituellement en concert. Tous deux distillent une sonorité d'une ensorcelante beauté, à mourir, et sans la moiiiiiiiiiiindre trace d'acidité.
Donc, pour en revenir à tes hORNS tout juste sorties de leur boîte: passer un violon baroque sur des enceintes à pavillon non-rodées (qui ne projettent pas crient pas, n'agressent pas), d'ici, je dirais que ça devrait gicler du vinaigre...Même sur une Harbeth M30 non-rodée sortie de la boîte, un violon baroque doit sonner cru.
'Pas s'exciter, fais-les jouer généreusement 3 semaines et on en reparlera. Entre-temps, savoure déjà les apparentes premières qualités.
Jean-Marie Reynaud avait un temps édité un disque, paraît-il efficace, spécifiquement conçu pour le rodage des enceintes.
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